Ou "Comment traduire plus de contenus pour un budget équivalent…", un autre angle d'attaque possible
L'ambiance, sans être totalement morose, est au contrôle des dépenses (coûts et investissements). Contrôle pour ne pas dire réduction dans beaucoup de cas…
Mais quid de la traduction ? Est-ce un coût ou un investissement ?
Quand j’entends ici ou là auprès de certains de nos clients et prospects que la traduction d’une annonce sous un produit ou service (service de e-commerce) peut multiplier significativement la vente du produit ou la réservation du service en question, le terme d’investissement en traduction s’impose.
Dans l’équipe, notre conviction est faite : un budget de traduction doit être vu non pas comme un coût mais comme un investissement. Pour se justifier et être justifiée, la diffusion d'un contenu traduit doit apporter un vrai + pour l'entreprise ou l'organisation, un "quelque chose qui n'existerait pas si le contenu n'était pas traduit". A défaut, sans ce "+" qui doit être défini en amont, la dépense est effectivement un coût et portera à juste titre ce triste fardeau.
Quelques exemples de raisons d'investir en traduction ?
- Permettre à l'interlocuteur de recevoir un message dans sa langue maternelle pour maximiser sa réceptivité et sa compréhension, en interne – les salariés – comme en externe – les clients , les actionnaires, les fournisseurs, etc. -.
- Atteindre des interlocuteurs qui seraient "hors de portée" sans une diffusion du message dans leur langue maternelle ou à défaut, une langue commune.
- Créer une intimité avec le lectorat cible, les utilisateurs ou récepteurs du contenu
- Renforcer la stature internationale d'une offre, de propos.
- "Acculturer" un contenu ou au contraire, "localiser" un contenu
- Faire plaisir à Google pour une opération locale de SEO
- Etc.
Si un tel potentiel est identifié et assumé, la dépense peut alors être vue comme un investissement. Et cela change tout…
Nous rencontrons régulièrement - et plus souvent que nous ne le pensions – des entreprises qui ne pilotent pas leurs dépenses en traduction. Ou, pour être plus exacte, qui n'ont pas idée du montant à budgétiser pour l'année à venir ni des "principes de base" pour en maîtriser le niveau (voir le diminuer). Et une de nos approches est d’aider ces entreprises à maîtriser ce types de dépenses (mais avec un regard qui va delà de l’aspect financier).
Nous pensons sincèrement que notre expertise peut se mettre au service de ce noble objectif : maîtriser voire réduire les coûts de traduction des entreprises et organisations diverses.
Alors comment s'y prendre…
Je ne vais pas détailler ici finement les étapes et le questionnement permettant la bonne analyse mais vous donner quelques lignes directrices. Il serait vain d'élaborer une méthodologie précise, le contexte d'une entreprise à l'autre étant fortement différent. Toutefois, comme souvent, il existe des invariants et des paramètres incontournables à prendre en compte.
Si le sujet fait écho à une de vos problématiques, n'hésitez pas à venir échanger avec nous. Nous rentrerons dans les finesses d’une telle approche.
Un Regard vers l'arrière – "état des lieux de la création et de la diffusion de contenus multilingues" – sur à minima la dernière année écoulée :
- Le contexte des demandes de traduction (quoi, pourquoi, qui, pour qui, etc.)
- L'organisation mise en place pour gérer ce sujet (les compétences, les ressources, les processus, les outils, etc.)
- L'analyse financière complète
- L'actif détenu
Un Regard vers l'avant – "prospectif à court et moyen terme" :
- Valorisation de l'actif linguistique acquis à ce jour
- Besoins en termes de langues (connus, hypothèses, options éventuelles)
- Identification des projets, des lectorats cibles, des objectifs poursuivis, etc.
- Analyse des critères de qualité
- Processus et outils clés
- Options d'organisation + critères de choix
Objectif du livrable : 1 – Optimisation/réduction des coûts, 2 - Optimisation des processus et 3 - Renfort de la maîtrise de la qualité
–> Une aide à la décision guidée pour un objectif bien réel…