- Pour l’aventure : trail urbain ou en forêt, on perd tous les repères imposés par une course sur route. Pas de signalisation, pas d’automobiles en circulation, pas d’interdiction, on est libre d’emprunter le chemin qu’on souhaite… C’est peut-être pour les punks de la course à pied ?
- Pour les articulations : quoi de mieux qu’un terrain souple pour éviter de traumatiser ses genoux et chevilles ? Oui, les chemins sont parfois irréguliers et on risque plus la foulure, mais pour ce qui est des chocs de la course, ils sont bien moins violents que sur le bitume.
- Pour les poumons : marre de respirer les odeurs de pots d’échappement et d’être exposés aux micro-particules… presque à la limite de l’étouffement lorsqu’on court en ville pendant les grandes chaleurs, on sent bien que ça n’est pas vriament un endroit adapté à la pratique de ce sport…
- Pour se ressourcer, au contact de la nature
Courir dans la nature, c’est l’odeur du miel des fleurs au soleil du petit matin, l’odeur vivifiante des sapins, un air totalement léger et redynamisant. Les paysages, s’ils ne sont pas grandioses, amènent au moins à la relaxation et à la déconnexion avec le monde extérieur, ce qui offre des moments plus que privilégiés…
Alors, plutôt trail ou bitume ?
Lancez-vous !
GotBalls : le 10 mars à Fontainebleau
Ecotrail : le 18 mars à Paris