La "peinture" solaire pour tous...bienôt !
Nous en parlions dans un article il y a quelques mois (article), et le peu que l'on puisse dire, c'est que la recherche progresse vite, très vite !
En Grande-Bretagne, les responsables d'un projet de collaboration université-entreprise travaillent dans un produit qui peut être arrosé dans les revêtements d'acier des bâtiments et capturer ainsi l'énergie du soleil. Le matériel se base des " nano-structure d'oxyde de titane avec colorant" qui imite la photosynthèse des plantes et se passe de silicium, donc meilleur marché qu'avec les plaques solaires conventionnelles. Les avantages concurenciels Selon un de ses responsables, Dave Worsley, le matériel de cette peinture serait plus efficace de capturer la basse radiation solaire, une propriété très utile dans des lieux peu ensoleillés. Pour cette raison, Worsley affirme que seulement avec la production d'acier de l'entreprise collaboratrice dans le projet ils pourraient être produits 4.500 gigavatios (Gw) d'électricité annuels. L'initiative est cofinancée par le Ministère le Commerce et de l'Industrie Britannique et prennent part Corus Couleurs, une entreprise privée du secteur de l'acier, les universités de Bath, Bangor et Swansea, ainsi que l'Impérial Collage de Londres.Aux Etats-Unis, un groupe interdisciplinaire de l'Université de Berkeley développe nanoparticules qui ont des propriétés photo-voltaïques. Un de ses responsables, l'ingénieur chimique Cyrus Wadia, affirme que ces particules, de la taille de mille millionièmes parties d'un mètre, pourraient être la base d'une peinture que quelqu'un pourrait utiliser dans sa maison. À cet effet, les chercheurs de Berkeley éprouvent avec diverses nano-structure qui leur permettent d'identifier un matériel bon marché, innofensif et abondant, de sorte qu'il puisse être fabriqué dans de grandes quantités et généraliser ainsi l'obtention d'énergie solaire.
Imprimantes d'encre solaire
Les recherches avancent par ailleur dans plusieurs equipes sur le matériel appelé "cellules solaires imprimables". A l'Institut de Nouvelle Technologie, on teste un matériel plastique basé sur une combinaison de " nanotubes de carbone" dont la structure moléculaire est semblable à un serpent enroulé.
A l'etat excité par les rayons solaires, le matériel détache ses électrons et produit un courant électrique. Selon Somenath Mitra, directeur du projet, les consommateurs pourraient imprimer de facon bon marché ainsi des feuilles avec ces cellules solaires au moyen d'imprimantes d'encre et les placer en tout lieu de leur maison.
Les recherches dans ce type nanomateriales de photo - chimique - électriques sont relativement récentes. Il y a plus d'une décennie, l'équipe de scientifiques du Michael chimique Graetzel, de l'Institut Fédéral Suisse de Technologie, à Lausanne, a ouvert le chemin de ces colorants avec des cellules solaires sensibles à la lumière. Concrètement, ils ont utilisé du dioxyde de titane pour parvenir à transformer 11% de la lumière solaire en électricité, un pourcentage proche à à celui des actuelles plaques solaires conventionnelles.
Problème
Toutefois, la toxicité du matériel a freiné la généralisation de ce système, bien que récemment Graetzel et ses collègues affirment avoir obtenu un substitut qu'il permet de supporter cet inconvénient. Les précieux % Pour sa part, un autre des pionniers de ces systèmes de cellules nanosolars est Ted Sargent, professeur d'ingénierie informatique à l'Université de Toronto, au Canada. En 2005, il avait annoncé un nouveau matériel plastique basé en nanotecnología de qu'avec le développement adéquat il pourrait parvenir à profiter jusqu'à 30% de l'énergie du soleil. Son système se base des "points quantiques", des particules faites de cristaux semi-conducteurs qui lui permettent de sortir le rendement énergétique maximal au spectre infrarouge de la lumière.Source : consumer.es
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