La LICRA et ses militants, venus manifester pacifiquement sur le parcours de la flamme, se sont vu arracher et confisquer sans ménagement, sur le parvis de l’Hôtel de Ville, leur banderole appelant au respect des Droits de l’Homme (« Les Droits de l’Homme ne se négocient pas, ils se respectent ! »).
La LICRA est indignée par les instructions qu’auraient reçues les forces de l’ordre, visant à interdire tout message associatif faisant référence aux Droits de l’Homme.
Ces méthodes, en France, supposée patrie des Droits de l’Homme, sont inadmissibles et intolérables.
Le président de la LICRA Patrick Gaubert adressera, en ce sens, dès demain un courrier de protestation au Ministre de l’Intérieur Michèle Alliot-Marie et au Premier Ministre François Fillon.
Information : 01.45.08.08.08.
source:http://www.licra.org/http://torapamavoa.blogspot.com