Mon avis : L’auteur et son personnage fétiche sont vraiment félins pour l’autre. Au fil des albums, le matou matois est devenu le prolongement naturel du crayon et de la pensée de son créateur. Il en est la griffe. On peut dire même affirmer aujourd’hui qu’il en est arrivé à la suppléer car, hélas pour lui, Geluck n’est plus un minet. En effet, au printemps prochain, Philippe Geluck et Le Chat, célébrerons une union de trente ans. Ça ne s’invente pas : ce seront leurs noces de perles ! Et des perles, il y en à foison dans ce dix-septième opus…
Mon avis : L’auteur et son personnage fétiche sont vraiment félins pour l’autre. Au fil des albums, le matou matois est devenu le prolongement naturel du crayon et de la pensée de son créateur. Il en est la griffe. On peut dire même affirmer aujourd’hui qu’il en est arrivé à la suppléer car, hélas pour lui, Geluck n’est plus un minet. En effet, au printemps prochain, Philippe Geluck et Le Chat, célébrerons une union de trente ans. Ça ne s’invente pas : ce seront leurs noces de perles ! Et des perles, il y en à foison dans ce dix-septième opus…