Mes vins "coup de cœur" : en blanc, Châteauneuf du Pape Boisrenard 2010, St Peray Fleur de Crussol 2010 d'Alain Vogé et château Grillet 2010 - en rouge, Lirac les Muses 2010 du domaine du Joncier, Châteauneuf du Pape Boisrenard 2010, Clos des Papes 2010, St Joseph les Reflets 2010 de François Villard et Côte Rôtie Gallet Blanc 2010 de François Villard. Mes déceptions : château de Beaucastel, Alain Graillot, Pierre Gaillard et, dans une moindre mesure, le Sang des Cailloux. Dernière remarque enfin quant au service dispensé dans ce palace parisien (remarquez, c'était la première fois que je rentrais dans ce genre d'établissement). Il est fortement désagréable d'être systématiquement bousculé par les serveurs qui officiaient, tant pour le remplacement des crachoirs que pour le buffet du midi. Enfin, dans les toilettes, les traditionnels essuie-mains en serviettes (que l'on trouve dans n'importe quel restaurant juste supérieur à la moyenne) ne sont en fait que des intissés. Un détail assez peu digne d'un palace ! Bruno
Mes vins "coup de cœur" : en blanc, Châteauneuf du Pape Boisrenard 2010, St Peray Fleur de Crussol 2010 d'Alain Vogé et château Grillet 2010 - en rouge, Lirac les Muses 2010 du domaine du Joncier, Châteauneuf du Pape Boisrenard 2010, Clos des Papes 2010, St Joseph les Reflets 2010 de François Villard et Côte Rôtie Gallet Blanc 2010 de François Villard. Mes déceptions : château de Beaucastel, Alain Graillot, Pierre Gaillard et, dans une moindre mesure, le Sang des Cailloux. Dernière remarque enfin quant au service dispensé dans ce palace parisien (remarquez, c'était la première fois que je rentrais dans ce genre d'établissement). Il est fortement désagréable d'être systématiquement bousculé par les serveurs qui officiaient, tant pour le remplacement des crachoirs que pour le buffet du midi. Enfin, dans les toilettes, les traditionnels essuie-mains en serviettes (que l'on trouve dans n'importe quel restaurant juste supérieur à la moyenne) ne sont en fait que des intissés. Un détail assez peu digne d'un palace ! Bruno