Se cachant derrière le légalisme d’un mandat d’arrêt européen et faisant semblant d’ignorer ce que permet l’article 695-22 du code de procédure pénale, tiré des dispositions de la décision-cadre européenne, Manuel Valls, appuyé (on ne l’imagine pas autrement) par François Hollande et Jean-Marc Ayrault, a livré une jeune femme innocente aux yeux du droit français, à la justice d’exception de l’Espagne.
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