Fin 2008, j'avais besoin de chiffres, de mots pour appuyer l'orientation que je donnais à l'usage de l'Internet dans le groupe qui m'employait (qui m'emploie toujours BTW). J'ai croisé alors qques personnes de Google qui venaient juste de publier la première étude sur le comportement ROPO (Research Online, Purchase Offline) en France.
J'ai alors commencer à googler les expressions: ROPO, ou encore web-to-shop, drive-to-store.
C'était alors le calme absolu, d'où ce blog.
Pourquoi évoquer ceci ? Avez vous récemment faire une recherche sur Google sur les expressions : web-to-store, web-to-shop, mobile-to-store... ?
Faites le et vous verrez que les résultats sont nombreux, notamment d'acteurs qui n'existaient pas ou peu il y a trois
Aujourd'hui le marché des entrepreneurs du web-to-store, je l'organise en trois grandes familles
- Les éditeurs de solutions web-to-store en marque blanche
- Les sites affinitaires qui revendent des leads aux retailers pour leur trafic magasin
- Les agences drive-to-store
Et le commerçant indépendant dans tout cela ?Les offres des trois familles que j'ai précédemment cités se développent aussi vers le petit commerçant. Qui pourra aussi trouver son bonheur dans des offres simples que propose Google Local.
A ce qui diront que c'est trop simpliste, voici une vidéo d'un test que Paypal vient de mettre en oeuvre dans les rues d'Amsterdam et permettant à tous les commerçants d'accéder à une offre de commerce digital (web-to-store, store-to-web) qui laisse présager ce que sera le shopping de demain que les commerces soient indépendants ou non.