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Une course sans fin

Publié le 27 novembre 2012 par Iamstephanek
Aujourd'hui dans ma tête, il y a...
Une course sans fin...un état d'euphorie qui contraste avec l’état de fatigue avancée qu'il y a dans mon corps. Mais peu importe la fatigue... je suis heureux d'avoir repris le chemin de la course a pieds après 24 jours d’inactivité.  3 kilomètres au cours desquels je me sentais heureux comme un gamin. Vous avez du mal à comprendre? Vous me prenez pour un drogué?  Comment un type normal peut être heureux d'avoir le souffle court et la sueur qui court son corps?.
Première explication
Si vous êtes un habitué du blog, vous avez pu comprendre que courir fait partie intégrante de mon style de vie. Les références sont nombreuses (ici, là et là aussi). Les articles de motivation en parlent car la course à pied vous apprend énormément sur vous et votre capacité à vous sublimer. Et toujours pour ceux qui ont lu le très célèbre "Avant j’étais gros...", courir fait partie des garanties pour continuer d'employer cette phrase au passé.  Ainsi depuis 8 mois, les nombreuses heures passées à courir ont été le meilleur régulateur de poids que j'ai eu.
Deuxième explication
Reprendre l'exercice, c'est aussi me remettre en condition physique pour les plus longues distances, celles que je fais le dimanche avec mon meilleur ami. Courir ce soir a semblé me rapprocher de cet instant. Les courses du dimanche sont devenues notre petit rituel amical. Un des moments surs que nous arrivons à nous accorder avec nos emplois du temps chargés par les responsabilités du travail. Apres l'heure à courir, on passe parfois plus d'une heure à refaire le monde, se raconter nos vies, inventer des théories mais surtout être surs, tous les deux, que peu importe le temps que nous pouvons passer sans se parler, l'un et l'autre savons qu'on ferait tout pour se soutenir. L'histoire en a déjà de bien bonnes sur nous. 
Toute cette histoire de course? C'est une arnaque et un prétexte pour parler d’amitié (mais j'ai effectivement ressenti ce que j'ai dit ressentir en courant hein). Cet article parle de celui avec qui je cours tous les dimanches mais il célèbre ceux sur qui je peux vraiment compter... Ils ne sont pas nombreux. Ils se reconnaîtront. Avec eux, c'est une course sans fin. For my people

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