Alors non, je ne vais pas vous faire la photo en accordance au titre, à savoir figée en l’air, les cheveux droits et le rictus (je ne sais pas sauter élégamment, telle la nymphe dans la campagne de pub, point).
Non, c’est référence au lettrage du sweat, je vous avais dit que les fringues à inscription = fin de la prise de chou du titre.
Et pourquoi je double ? et bien depuis que je le porte, je chante à tue tête Jump ! des Kris Kross, mais version Catalina dans My name is Earl, scène(s) d’anthologie (et oui, je fais parfois la « non-choré », au secours)…
C’est donc le Sweat Free City, un espèce de molleton machouillé, élimé, déteint, usé. Le truc que ta grand-mère te demande d’où tu le sors tellement il lui semble pouilleux. Réflexion identique sur le jean vieilli-troué. Comme beaucoup, à l’incompréhension générale d’une bonne partie de la famille, j’adore ce genre de fringue, tu l’enfiles, tu te sens chez toi, en confiance, comme dans le pyjama que tu refusais de jeter à l’adolescence alors qu’il ne restait que les fils de trame. C’est très régressif en fait…
Whe I jump, I jump for Earl (ok, j’espère qu’il y a des fans de la série parmi vous, sinon je suis mal) :
- Sweat Free City. (jolie version TOPSHOP ICI)
– Jean Uniqlo (il faut absolument que je lui trouve un remplaçant. Je me répète)
- Boots See by Chloé
– Manteau Masscob
– Bonnet Madeleine Thompson (le doré est sold out mais il reste le gris à -50%)
- montre Nixon
– Foulard Zara
– Sac Raoul (livraison gratuite sur my-wardrobe avec le code SHIPPINGFR)
– Bracelet Vanessa Tugenhaft