source : Askatom (cliquez sur la photo)
« En dégageant Sarkozy le 6 mai 2012 nous n’espérions pas réellement, avec François Hollande et la social-démocratie, conquérir de nouveaux droits sociaux, mais nous pensions que des évolutions « positives » en terme de respect des Droits de l’Homme puissent être mises en œuvre. Après des années particulièrement sombres où la droite libérale, toujours plus proche des idées de l’extrême droite, n’a cessée de stigmatiser des populations entières (« musulmans » et « roms » en particulier) espérant en tirer un surplus électoral, avec comme zénith nauséabond le discours « de Grenoble » de Sarkozy du 30 juillet 2010, la politique du Parti socialiste devait apporter une forme de lumière, au moins sur ce front.
Or en matière de stigmatisation des populations roms, comme dans beaucoup d’autres domaines, le changement n’a malheureusement pas été au rendez-vous »
Ce texte vient d’un billet de blog que je viens de découvrir (grâce au Paper Li de Peuple de Gauche), qui gagne manifestement à être connu, et que je vais illico presto rajouter à ma blog roll, tant ses propos rejoignent mon avis sur le sujet… et sur d’autres. Quant un gouvernement peut se vanter de bénéficier (sic) d’un record (resic) de reconduites à la frontière plus important que le précédent, tout comme d’une efficacité plus que redoutable en matière de démantèlement de camps de roms, on peut se dire qu’effectivement, le changement, c’est pas maintenant ! Une politique… socialiste, avez vous dit ? Ah bon ? J’ai rien vu venir, moi, de ce côté là, Anne, ma soeur Anne… (Lauvergeon ? ). Le changement, pour les plus démunis, c’est pour quand ?