Contrairement à ce que l’on imagine, le cannabis n’est plus seulement réservé aux jeunes désœuvrés des banlieues sombres.
Depuis quelques années, il s’immisce lentement mais surement dans les milieux étudiants. Et pas seulement chez quelques étudiants arrivés par hasard sur les bancs de la fac. Non, le cannabis touche aujourd’hui directement des étudiants brillants et motivés, voués à de hautes et longues études.
Contrairement à l’alcool qui reste encore synonyme de « fête », le cannabis, lui, devient peu à peu un « stimulant » utilisé seul, pour se donner du « courage » pour étudier, « se déstresser » avant d’attaquer les révisions, « se concentrer » pour de longues heures de travail. Du moins … c’est comme cela que ces génies en herbe pensent la chose… c’est comme cela que les dealers le présentent !
Se pensant conscients des effets néfastes du cannabis, ils considèrent à tort qu’il faut une quantité importante de THC (substance active contenue dans le cannabis) pour en subir les effets indésirables.
Ce qu’ils ne savent pas c’est que quelle que soit la quantité consommée, le THC se loge directement dans les tissus graisseux. Et l’organe le plus riche en « graisses » se trouve être justement … le cerveau.
Cela est donc loin d’être anodin, et s’avère plutôt inquiétant puisque c’est justement cet organe qu’ils sont sur le point de solliciter intensément. Le THC ingéré pour se « remotiver » va en réalité directement altérer leur mémoire et leur capacité de jugement… et provoquer l’inverse !
Ils justifient cette consommation qui devient de plus en plus régulière par le fait « qu’il vaut mieux fumer du cannabis que se piquer à l’héroïne ».
Oui, c’est vrai : il vaut mieux perdre un œil que les deux… ce qui ne signifie pas qu’en perdre un seul soit une bonne chose … ! Qu’il existe substance plus dangereuse n’enlève rien à la dangerosité de la première.
En ces temps de désinformations et de justifications douteuses, il est plus que jamais nécessaire d’informer. Le cannabis est, reste et restera une drogue dangereuse, quels que soient les arguments des dealers, quelle que soit la catégorie dans laquelle on le classe et quelle qu’en soit la quantité consommée.
L’association « non à la drogue, Oui à la vie » met à la disposition du public des brochures gratuites sur les dangers des drogues les plus courantes, un DVD contenant une série de 16 spots vidéo de 30 secondes intitulés « ils ont dit, ils ont menti » et un documentaire de plus de 200 témoignages vidéo basés sur des expériences authentiques.
Des conférences d’information gratuites sont dispensées pour tous les groupes qui le désirent.
Pour obtenir davantage d’information sur les actions de l’association ou pour télécharger ou obtenir gratuitement les livrets, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org
Contact presse : Robert Galibert au 06 20 51 17 57 info.drogue@gmail.com ou http://cestquoiladrogue.fr