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TF1: Sommaire de « Sept à huit » ce dimanche 3 février

Publié le 03 février 2013 par Buzzmedias @buzzmediasnet
TF1: Sommaire de « Sept à huit » ce dimanche 3 février

Ce dimanche 3 février à 18h00, Harry Roselmack  présentera un nouveau numéro du magazine « Sept à huit » sur TF1. L’émission proposera notamment une enquête sur la chasse aux stars. 

buzzmedias.net vous propose de découvrir le sommaire de « Sept à huit » ce dimanche 3 février:

- La chasse aux stars: Hollywood est son terrain de chasse. Son arme : un téléobjectif. A 49 ans, le Français Régis Navarre dirige l’une des plus grosses agences de paparazzi de Los Angeles. Sous ses ordres, 25 photographes qui quadrillent la ville à l’affût du moindre cliché de célébrité. Ce diplômé de l’Ecole Normale supérieure qui a fait ses débuts au journal Le Monde, s’est pris de passion pour l’univers très lucratif de la presse people il y a 15 ans. Chaque jour, depuis sa somptueuse villa de Pacific Palissades, il lance ses photographes sur la piste de Rihanna, Britney Spears ou encore Justin Bieber. Certains clichés se négocient plusieurs centaines de milliers de dollars.

- Resto anti-crise: Marie et Ludovic ont abandonné leur travail, hypothéqué leur maison et investi 25 ans d’économie pour se lancer dans un nouveau projet : gérer des restaurants spécialisés dans la pomme de terre. Un projet pas si fou qu’il y paraît : depuis le début de la crise, une chaîne de restaurants spécialisés dans les plats à base de patate connait un succès fulgurant. Des plats simples, copieux et bon marché, destinés à des clients qui surveillent de près leur budget. L’idée est née dans l’esprit d’un ancien prof de vente. Jean-Christophe Pailleux, fils d’un cheminot et d’une femme au foyer, a ouvert le premier restaurant en 1996, avec de petits moyens, et sans imaginer que 16 ans plus tard, il en gèrerait 162, dans toutes les zones d’activité commerciale de France. Sept à Huit raconte la saga d’un restaurant qui ne connait pas la crise.

- Le mégot: C’est une enquête au long cours. Seul le fils de la victime croyait encore qu’elle aboutirait un jour. En 1992, les parents de Didier Leclercq, Hector et Jacqueline, sont frappés et séquestrés par une bande de cambrioleurs dans leur maison de Saint-Quentin dans l’Aisne. Elle, est grièvement blessée, lui, meurt asphyxié. Sur place, très peu d’indices : des traces de pas et un mégot de cigarette. C’est grâce à l’ADN retrouvé sur ce mégot qu’un suspect est finalement identifié… 14 ans plus tard, en 2006 : c’est une figure du grand banditisme qui a déjà passé la moitié de sa vie derrière les barreaux.

- Les nouveaux « Tanguy »: A 30 ans, Flore a retrouvé ses peluches et sa chambre d’enfant. Après avoir étudié dans une grande école de commerce et travaillé de nombreuses années à l’étranger, elle est rentrée en France il y a 9 mois pour chercher du travail. Mais la crise l’a rattrapée, chômage, RSA : impossible de trouver un logement. Sa seule solution : retourner vivre chez ses parents. Pour ne pas se retrouver à la rue ou dans des foyers d’hébergement d’urgence, de nombreux jeunes, ayant déjà une expérience professionnelle de plusieurs années derrière eux, sont ainsi contraints de rentrer vivre chez leurs parents. Ces « Tanguy de la crise » vivent plus ou moins bien ce retour forcé chez papa-maman. Adelaïde a très vite senti quelques tensions avec sa mère lorsqu’elle a débarqué avec tous ses meubles, son bébé et son nouveau compagnon…

- Serpents dans la ville: Croiser un python dans un centre commercial ou un cobra dans son jardin, c’est presque devenu courant à Bangkok. La capitale thaïlandaise construite sur un marécage est envahie par les reptiles qui sèment la panique dans la population. L’an dernier, 3600 serpents et autres lézards géants ont été capturés. Stéphane Rodriguez a suivi l’unité spéciale des pompiers de Bangkok spécialisée dans la traque aux reptiles.

- Alcoolique: Constance Larsen était secrétaire générale d’un très grand groupe lorsqu’elle a sombré dans l’alcoolisme. Son histoire est celle d’un alcoolisme mondain qui a basculé dans l’alcoolisme tout court : celui qui détruit et qui se vit seul. Un jour, très éméchée, elle interpelle son PDG en présence de tous les autres employés. Cet écart ultime lui coûte son poste ! Constance Larsen est aujourd’hui abstinente depuis quatre ans et s’est reconstruite. Elle raconte les mensonges pour tenir sa haute fonction et sauver la face dans son milieu bourgeois. Elle ose parler de l’alcool en entreprise, des repas d’affaires au cours desquels elle s’est sentie déraper, des fonds de bouteilles qu’elle finissait en cachette. Elle parle aussi du tabou de l’alcoolisme au féminin, de la honte de ces femmes qui se cachent pour boire. C’est le portrait de la semaine par Thierry Demaizière et Eric Dumont.

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