Mais lorsqu’il peut se rendre en pèlerinage en Bavière, voici Ueli tout ravi.
Faut dire que la Bavière, la bière, les culottes en peau de vache, les plaisanteries grasses, les bretzels, et toute l’imagerie de cette région lui colle tellement à la peau qu’il se sent là-bas comme à la maison.
Notre historien national aux idées courtes et volontairement peu claires aurait-il comme des relents de nostalgie d’une époque où l’on marchait à la baguette et où les généraux appliquaient les ordres du chef sans discuter?