Aujourd’hui, c’est Rajoy, le président du gouvernement espagnol qui s’y colle. Oh présomption d’innocence, certes, mais sacrée odeur de pourri et de déjà vu aussi.
« Le nom de Rajoy est apparu jeudi dans le quotidien El Pais parmi les bénéficiaires présumés de salaires occultes qui auraient été versés pendant des années à plusieurs dirigeants du Parti populaire (droite). Un parti dirigé depuis 2004 par Mariano Rajoy, devenu président du gouvernement espagnol en décembre 2011
Le chef du gouvernement espagnol a nié samedi 2 février avoir reçu de l’argent au « noir » et a balayé d’un revers de manche la perspective d’une éventuelle démission. Répondant au scandale qui soulève une vague d’indignation dans le pays, il a annoncé qu’il allait rendre publics ses revenus.
« Si certains imaginent que face au harcèlement je vais abandonner la tâche que les Espagnols m’ont confiée, je tiens à leur dire qu’ils se trompent ». »Mes déclarations de revenus et de patrimoine seront mises à la disposition de tous les citoyens dès la semaine prochaine », a-t-il ajouté en promettant « la plus grande transparence »
Le nom de Rajoy est apparu jeudi dans le quotidien El Pais parmi les bénéficiaires présumés de salaires occultes qui auraient été versés pendant des années à plusieurs dirigeants du Parti populaire (droite). Un parti dirigé depuis 2004 par Mariano Rajoy, devenu président du gouvernement espagnol en décembre 2011.
Un coup de tonnerre dans une Espagne ébranlée par la multiplication des cas de corruption : après différents scandales ayant révélé des pratiques courantes chez nombre d’élus locaux, les soupçons se portent maintenant sur des dirigeants nationaux. »
Bon. On attend impatiemment la suite.
Source: The HuffingtonPost