Bones // Saison 8. Episode 13. The Twist in the Plot.
Après s'est concentré sur l'intrigue de Pelant dans l'épisode précédent, Bones revient à quelque chose de plus classique et donc de beaucoup plus ennuyeux. En effet, je trouve
que la série n'est jamais intéressante quand elle est aussi fade qu'aujourd'hui. "The Twist in the Plot" était donc l'un de ces épisodes de remplissage dont seule
Bones sait comment les rater. Nous allons donc suivre l'enquête sur deux corps retrouvés dans la même tombe. Tout cela est amenée très grossièrement bien évidemment et l'enquête
était d'autant plus insupportable que Daisy était de retour. Vous savez, celle que je déteste encore plus que Sweets ? C'est elle. Autant vous dire que son retour était vraiment l'une des plus
mauvaises idées de la saison. J'ai donc eu du mal à savoir comment aborder cet épisode, surtout quand les intrigues tendent à devenir vraiment chiante. "The Twist in the Plot"
était donc surement le mauvais moment pour moi de voir un nouvel épisode de Bones.
Mais tout cela ne s'arrête pas à cette histoire de meurtre ultra téléphonée et d'une médiocrité à faire pâlir une girafe. Booth et Bones vont donc en profiter pour nous parler de
leurs plans pour après leur mort. Chacun doit décider ce qu'il veut comme enterrement ou crémation, ou autre. Autant vous dire que cela a ajouté quelque chose à mon énervement.
Bones peut parfois être une bonne série amusante, mais aussi une série ennuyeuse. Elle est plus souvent la seconde. Disons que le couple de Bones et Booth ne
parvient qu'à de très rares occasions à devenir mignon et touchant. Il y a déjà quelques bonnes petites séquences avec les deux personnages, surtout que j'aime bien comment les choses sont faites
quand c'est bien fait. Mais je crois que la faute vient de certains scénaristes qui ont certainement du sentir que cela arrivait trop tard. Castle pour prendre un exemple
contraire, j'ai pas pris trop de temps pour mettre ses deux héros en couple (et l'on voit que c'est une réussite).
Note : 2/10. En bref, ennui à l'horizon.