Fin 1979, il a recueilli les confidences d’Alexandre Sanguinetti. Le co-fondateur du SAC (Service d’action civique), lui affirme que la mort de Boulin est « un assassinat » et lui donne deux noms qu’il affirme être ceux des assassins de Robert Boulin.
Ces deux noms, Jean Charbonnel ne les a jamais révélés et les a déposés dans un coffre-fort – il l’avait expliqué en 2009 à Benoît Collombat.
Il se propose aujourd’hui de les confier à la Garde des Sceaux Christiane Taubira si celle-ci autorise, comme le demande la famille, la réouverture d’une enquête.
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