Un petit jeu qui vous permettra de découvrir le nom d’une charmante (comme beaucoup d’autres) petite ville bretonne. Compte-tenu de vos connaissances, des indices que contient ce billet et avec l’aide d’internet, vous devriez trouver sans trop de difficultés.
Commençons la visite par l’église Saint-Pierre qui, bien que de construction récente (1863-1896) mérite que l’on s’y attarde un moment.
Elle fut bâtie à l’emplacement de l’ancienne église St-Martin du Vertou et est très représentative du style néo-ogival. Son clocher, haut de 55 mètres, domine la ville.
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A l’intérieur, on trouve des boiseries magnifiques et un autel monumental.
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Longueur 54,74 m, largeur 15,43 m, hauteur 10,20 m et superficie de la toiture 1180 m2. Les halles construits en 1552 ont été classées Monument Historique en 1922. Impressionnante bâtisse au centre de la ville, elles abritent le marché hebdomadaire, les concerts, les brocantes et les manifestations culturelles. Autrefois, c’étaient les drapiers, cordonniers, cordiers, paysans qui s’y rassemblaient pour y faire commerce.
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La fontaine et le lavoir Saint-Martin du XVIème siècle étaient le rendez-vous des lavandières.
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Le vieux Presbytère remonterait au XVème siècle. Il fut réquisitionné à la Révolution pour servir de caserne républicaine et détruit ensuite pas les Chouans. On ne peut le visiter (propriété privée) mais à proximité on découvre un autre lavoir admirablement conservé.
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Notez la forme originale à trois branches de la fontaine.
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L’Hôtel Belmont date des XVème et XVIème siècles et fut restauré en 2005. Sa tourelle originale peut être admirée depuis le petit jardin enclos à l’arrière de l’édifice.
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Assez d’éléments pour trouver le nom de la ville ?
J’ajouterai que l’hostellerie Jehan Le Guénégo, l’une des plus anciennes maisons de la cité, date du XVème siècle, que plusieurs noms de rues rappellent l’artisanat local de l’époque (rue des cuirs, rue de la laine, rue de la tannerie) et que toutes ses artères sont admirablement fleuries ; mais ça, ça ne va pas beaucoup vous aider vu que c’est le cas dans pratiquement toutes les bourgades bretonnes.
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Alors, nous sommes où ????
kenavo !
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