Noël approche, c’est le moment de faire votre liste au père Noël ! Si vous partez en Amérique Latine, profitez-en pour vous offrir ou vous faire offrir ces 10 produits indispensables à votre voyage !
1. Lonely Planet Amérique Centrale
Le Lonely Planet Amérique Centrale est idéal pour avoir toutes les informations nécessaires dans son sac. Même si les Lonely Planet par pays sont plus détaillés, cet ouvrage résume les lieux à voir, les meilleurs hôtels et les renseignements pratiques (horaires de bus, d’ouverture de musée, plans…). Pour ma part j’ai préparé mon voyage avec les Lonely Planet de chaque pays puis j’ai fais quelques photocopies que j’ai insérées dans mon Lonely Planet Amérique Centrale et le tour est joué !
2. Carte d’Amérique Centrale
Pour mes préparatifs j’ai utilisé cette carte, la seule que j’ai trouvée sur la région de l’Amérique Centrale. Elle tient facilement dans le sac et m’a permis de m’orienter et d’estimer les distances. De retour de mon voyage je l’ai accrochée à un mur pour continuer à rêver…
3. Guide de conversation Amérique Latine
Apprendre l’espagnol c’est bien, se familiariser avec les spécificités du language d’Amérique Latine c’est mieux ! Ca peut éviter quelques bourdes. Par exemple en Espagne on dit « coger el autobus » pour dire prendre le bus. Or en Amérique Latine, coger a une connotation vulgaire et signifie avoir une relation sexuelle. Donc à moins que vous soyez attirer par les bus, il vaut mieux utiliser le verbe « tomer ». Voilà pourquoi ce petit guide de conversation est essentiel !
4. Moustiquaire
Moustiquaire ou pas ? J’ai longtemps hésité car les risques de paludisme sont moyens en Amérique Centrale mais plus élevés en Amérique du Sud et dans certaines régions cernées par la jungle tropicale. J’ai donc décidé d’en prendre une qui soit légère et peu encombrante. Pour une utilisation optimisée vous pouvez en prendre qui soit imprégnée de deltaméthrine, un répulsif longue durée. J’ai utilisé intensivement ma moustiquaire, surtout dans les chambres qui n’avaient pas l’air très salubres. L’effet était aussi psychologique, je m’y sentais à l’abri de toutes les bêtes qui pouvaient venir partager mon lit, blattes, putois et serpents compris. L’utilisation peut paraître un peu compliquée au départ mais avec l’expérience vous monterez votre petite cabane de toile en deux temps trois mouvements. Le mieux est de s’exercer avant le départ !
5. Coussin de voyage
Pour les fans de voyage en bus comme moi, ce petit coussin est l’accessoire indispensable. Une fois dégonflé il ne prend pas de place et ce n’est pas lourd à porter. N’oubliez pas de presser la valve quand vous soufflez sinon ça ne fonctionnera pas (je précise car la première fois je n’ai pas réussi à gonfler mon oreiller…). Très utile pour un peu de confort et éviter de poser sa tête contre la vitre dégoûtante. Opérationnel aussi si vous voulez ménager vos fesses sur une route bossue, dans un hamac, sur le banc d’un bateau, dans les fauteuils d’un aéroport…
6. Gourde Katadyn
Dans les régions d’Amérique Latine l’eau est souvent polluée et transport des bactéries diversement dangereuses pour la santé. Il n’est donc pas conseillé de boire l’eau du robinet ! La solution est donc d’acheter des bouteilles, d’utiliser des capsules filtrante quand aucun magasin ne se trouve à proximité ou… d’investir dans une gourde Katadyn ! Cette bouteille très pratique contient un filtre. De ce fait on peut mettre n’importe quelle eau dans la gourde et la boire presque instantanément après filtration. L’investissement est vite amorti ainsi que bien des soucis pratiques.
7. Chapeau moustiquaire
Oui ce n’est pas du plus grand chic le chapeau moustiquaire. Mais franchement vous préférez avoir la classe au milieu de la jungle où vous faire en permanence piquer par des moustiques qui vous défigureront durablement ? Dans certaines forêts humides je ne pouvais tout simplement pas m’arrêter pour observer les animaux et prendre des photos tant j’étais harcelée par des brigades de moustiques ! Promis, une fois sorti de la zone à risque vous pouvez ranger la moustiquaire et garder le chapeau sur la tête.
8. Sac randonnée
J’ai voyagé pendant pas mal d’années avec mon vieux sac de la marque Décathlon. La marque Quecha n’existait pas encore, c’est pour vous dire à quel point ce sac était une antiquité, il devait avoir 15 ans ! Et puis un jour j’ai dû m’en séparer malgré mon grand attachement sentimental pour lui… Mon nouveau sac devait donc être à la hauteur : pratique, avec plein de poches, avec une grande capacité de contenance mais léger… et puisque les concepteurs se sont rendus compte que les hommes et les femmes n’avaient pas la même morphologie… adapté à mes petites épaules de nana.
9. Chaussures de marche
Mon dilemme était de trouver des chaussures de randonnée que je puisse aussi utiliser pour mes marches quotidiennes. Je n’avais pas envie de porter des tennis et de lourdes chaussures de marche. J’ai été ravie de découvrir ces modèles à mi-chemin qui offre beaucoup de confort quelque soit la surface du sol tout en restant légère et esthétique. (oui sur le dernier point, j’avoue que c’est mon coté superficiel qui ressort !)
10. Aspi venin
Bien que la plupart des serpents ne soient pas agressifs et s’enfuiront en sentant les vibrations de votre pas sur le sol, on n’est jamais à l’abri de mettre le pied sur un reptile alangui au soleil qui ne se laissera pas marcher dessus ! D’ailleurs le danger peut aussi survenir du ciel puisqu’il y a aussi des serpents arboricoles. Avec son embout ventouse, ce petit outil aspire le venin en quelques secondes. J’ai eu l’occasion de m’en servir, pas suite à une attaque de serpent mais après avoir été piqué par une étrange bébête volante et surdimensionnée. Son dard était resté dans mon bras et j’ai pu le retirer grâce à l’aspi venin. Je m’étais déjà exercée auparavant et j’ai pu l’utiliser seule sans difficulté. Précision, ne le rangez pas au fond de votre sac car s’il sert ce sera en cas d’urgence et vous n’aurez pas forcément envie de vider votre besace pour l’atteindre.