Dans un monde où la frontière entre les sexes n’a jamais été aussi friable, où les femmes doivent se masculiniser et de désexualiser pour être respectées. Où les hommes doivent se féminiser pour être acceptés et se viriliser pour être aimés. Dans ce monde étrange, la pub saute sur l’occasion comme elle seule sait le faire.
Et comme souvent les spots pour alcool sont de loin les plus créatifs (satané loi Evin). La bière Schneider nous liste donc, tout simplement, ce qui fait d’un homme un homme. Ou plutôt, de ce qui fait d’un homme un stéréotype ambulant. Sociologiquement et intellectuellement affligeant, mais drôle.