Eclairer le chercheur en sortant l’alcoolisme de l’ombre - Pourquoi Docteur ?:
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Beau constat il faut travaillé ensemble, belle initiative aussi, moi je suis convaincu qu'il y a une dimension génétique à l'alcoolisme mais après une fois que la personne est sevrée il y a alors le véritable combat du quotidien.
C'est la que les groupes de parole entre en jeu, parce que l'alcool fait parti du quotidien, et le médecin n'est pas là 24 heure sur 24 tandis qu'on peut trouver de l'entraide dans ces groupes à toute heure du jour...
Moi au début j'allais parfois deux fois par jour au AA et j'en avait besoin véritablement besoin. Mais j'ai perdu la soif assez vite après. À Montréal il y a des réunions vraiment tout le temps et partout...
Merci ma Puissance Supérieure...
Mouze Zoomba (c'est pas mon vrai nom évidemment) alcoolique et dépendant...