C'est autant de milliards perdus pour des projets constructifs allant dans le sens de l'intérêt général (Éducation, Recherche, Santé, Logement, Environnement, Industrie,...).
Il va de soi aujourd'hui que l'ampleur de la crise requiert l'intervention des Etats afin de consolider les marchés financiers mais on ne saurait négliger aussi la responsabilité des actionnaires qui devront être mis à contribution.
On ne saurait toujours considérer que les pertes sont à nationaliser et les profits toujours à privatiser !
Il va de soi que cette crise constitue les prodromes d'une remise à plat des logiques infructueuses du capitalisme financiers mondialisé.
La France, la Gauche, l'Europe doivent envisager sans attendre cette rupture avec le capitalisme financier : la mondialisation libérale à échoué !