© Frank Rodi
L’auteur Philippe Jaroussault a obtenu un article dans l’hebdomadaire Les Versants (Québec) pour son roman intitulé « L’Intime des sens féminins« , publié aux Éditions Dédicaces en 2011. Le journaliste Frank Jr Rodi écrit : « Alors que Fille des pures consciences s’approche de la poésie et la philosophie par une écriture et un langage lyrico-philosophique, L’Intime des sens féminin est beaucoup plus prosaïque. « Ce roman offre une méthode pour s’aimer, des pistes pour ne pas faire fausse route par l’ennui, la familiarité, la méfiance. Je crois que le seul salut du couple réside dans la création d’un langage amoureux qui lui est propre », indique l’auteur. L’histoire de l’épopée Marilem se déroule sur une période d’environ 20 ans, s’amorçant lorsque les deux personnages se rencontrent, à l’âge de 20 ans, à l’Université Laval. « Je n’aime pas le mot « thérapie », mais mon seul but, ma seule raison d’écrire, c’est de faire œuvre utile, d’apporter un certain réconfort auprès des jeunes gens dans l’art d’aimer », d’ajouter monsieur Jaroussault. »
« L’Intime des sens féminins » met en scène Marilem et Roucoul, à l’affût de leurs candeurs amoureuses, qu’ils associent à des fontaines de l’intime. Rien ne peut empêcher la prospection de cet intime, au delà de la frontière d’eux-mêmes, qu’ils irriguent de leur délure et délinquance des usages, sur le modèle des riches sensations inédites, ou des sveltes consciences. Une dialectique amoureuse nouvelle va mener les amants vers les plus personnelles des consciences, sachant mesurer le juste antidote aux dithyrambes des conventions. C’est le parcours initiatique de deux jeunes âmes vers le pur jaillissement de l’être, visant une progression sans faille dans l’antre sacré d’eux-mêmes, aux apogées de leur intime absolu.
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