Pour leur nouvel album, les types de Danava ont décidé d'y aller molo sur la violence électrique déployée sur plus de dix minutes et d'intégrer des orchestrations épiques à base de violons, de clavecins, de flûtes et de solos de guitare.
Ecouter Danava, c'est toujours tomber dans une faille spatio-temporelle et se retrouver dans le futur des années 1970 avec des robots hippies sataniques sous acide qui conduisent des motos vertes et volantes.
La chanson "The emeraid snow of sleep", c'est comme si Jean Michel Jarre s'était mis à adorer Thor et lui avait confectionné une épée dentée gigantesque à partir d'un alliage de heavy metal inédit.
Bref, dans cet album il y a toute la puissance du premier, plus le grandiloquent poussé à son maximum.
Attention à vos voisins tout de même.