Dans ce roman, Margaret Durrell revient sur son expérience de gérante d’une pension de famille. Et il y a de quoi en faire tout un livre ! Entre un artiste peintre qui se consacre à la nudité, des contrebandiers, un bébé braillard, des musiciens de jazz qui répètent à longueur de journée, de belles infirmières qui attirent tous les hommes et un enfant obèse qui fait les quatre cents coups, la vie est loin d’être paisible !
Et si j’admire cette femme qui prend les évènements avec philosophie et sans se départir de son sourire, j’avoue ne pas avoir été séduite par son histoire.
C’est au milieu du livre que j’ai commencé à perdre le fil et à décrocher. Les personnages trop nombreux et le fait de passer d’une péripétie à l’autre sans transition épuise sans pour autant faire rire. Alors que la 4e de couverture annonçait des aventures hilarantes, je n’ai même pas souri une seule fois… Je dois être vraiment hermétique à l’humour anglais…