SHYM a fait le "BUZZ'ER" sur les lèvres wouah!
(quand même un petit goût de déjà vu..)
Dans la catégorie exploit sportif:
Les océans, les courants marins, les poissons et même les requins ont choisi leur :
"NRJ sea AWARDS "
Héros. François Gabart est entré dans l'histoire ce dimanche aux Sables d'Olonne. Le skipper de Macif a bouclé son tour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance. Agé de 29 ans, le français devient ainsi le plus jeune vainqueur d'une épreuve qu'il disputait pour la première fois. L'ingénieur blond aux yeux bleus, aura réussi son tour du monde de quelque 24.000 milles (44.450 km) en 78 jours, 2 heures et 16 minutes, pulvérisant le record du Vendée Globe établi par Desjoyeaux en 2009: 84 jours, 3 heures et 9 minutes." title="A chacun ses NRJ Awards...." />Héros. François Gabart est entré dans l'histoire ce dimanche aux Sables d'Olonne. Le skipper de Macif a bouclé son tour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance. Agé de 29 ans, le français devient ainsi le plus jeune vainqueur d'une épreuve qu'il disputait pour la première fois. L'ingénieur blond aux yeux bleus, aura réussi son tour du monde de quelque 24.000 milles (44.450 km) en 78 jours, 2 heures et 16 minutes, pulvérisant le record du Vendée Globe établi par Desjoyeaux en 2009: 84 jours, 3 heures et 9 minutes." border="0" /> François Gabart est entré dans l'histoire ce dimanche aux Sables d'Olonne. Le skipper de Macif a bouclé son tour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance. Agé de 29 ans, le français devient ainsi le plus jeune vainqueur d'une épreuve qu'il disputait pour la première fois. L'ingénieur blond aux yeux bleus, aura réussi son tour du monde de quelque 24.000 milles (44.450 km) en 78 jours, 2 heures et 16 minutes, pulvérisant le record du Vendée Globe établi par Desjoyeaux en 2009: 84 jours, 3 heures et 9 minutes. Crédits photo : DAMIEN MEYER/AFPC'est bien François, toi tu n'as mis que 77 jours pour convaincre...
Tel est pris... Lancé comme une torpille, ce grand requin blanc a littéralement déchiré la surface de la mer pour gober ce qu'il croyait être un jeune phoque... mais qui n'était qu'un leurre, utilisé par le photographe Dana Allen pour réaliser ce cliché, près de la ville du Cap, en Afrique du Sud. Image d'Épinal du requin mangeur d'homme, le Grand Blanc apparaît ici dans sa réalité la plus brutale. Prédateur absolu, il traîne derrière lui la plus épouvantable réputation. Pourtant, la plupart des attaques sur l'homme qui lui sont attribuées ne sont pas réellement intentionnelles. S'il s'en prend parfois aux surfeurs, c'est uniquement en raison de leur ressemblance, vu des profondeurs et à travers les yeux de ce grand poisson cartilagineux, avec un phoque, son plat préféré..." title="A chacun ses NRJ Awards...." />Tel est pris... Lancé comme une torpille, ce grand requin blanc a littéralement déchiré la surface de la mer pour gober ce qu'il croyait être un jeune phoque... mais qui n'était qu'un leurre, utilisé par le photographe Dana Allen pour réaliser ce cliché, près de la ville du Cap, en Afrique du Sud. Image d'Épinal du requin mangeur d'homme, le Grand Blanc apparaît ici dans sa réalité la plus brutale. Prédateur absolu, il traîne derrière lui la plus épouvantable réputation. Pourtant, la plupart des attaques sur l'homme qui lui sont attribuées ne sont pas réellement intentionnelles. S'il s'en prend parfois aux surfeurs, c'est uniquement en raison de leur ressemblance, vu des profondeurs et à travers les yeux de ce grand poisson cartilagineux, avec un phoque, son plat préféré..." border="0" /> Lancé comme une torpille, ce grand requin blanc a littéralement déchiré la surface de la mer pour gober ce qu'il croyait être un jeune phoque... mais qui n'était qu'un leurre, utilisé par le photographe Dana Allen pour réaliser ce cliché, près de la ville du Cap, en Afrique du Sud. Image d'Épinal du requin mangeur d'homme, le Grand Blanc apparaît ici dans sa réalité la plus brutale. Prédateur absolu, il traîne derrière lui la plus épouvantable réputation. Pourtant, la plupart des attaques sur l'homme qui lui sont attribuées ne sont pas réellement intentionnelles. S'il s'en prend parfois aux surfeurs, c'est uniquement en raison de leur ressemblance, vu des profondeurs et à travers les yeux de ce grand poisson cartilagineux, avec un phoque, son plat préféré... Crédits photo : DANA ALLEN/CATERS NEWS/SIPA/DANA ALLEN/CATERS NEWS/SIPA Comme c'est bientôt la *st Valentin*pour ta superbe victoire:
Je t'envoie mon plus intense baiser... Rouge vif. Plusieurs épisodes d'activité ont été constatés ces derniers jours au sommet du volcan de l'Etna en Sicile. Le dernier date du mardi soir et a pris fin mercredi matin. C'était le quatrième en moins d'une semaine. Deux se sont produits sur le cratère appelé «Bocca nuova» et deux au nouveau cratère du «sud-est». Pour le moment, cette activité volcanique n'a provoqué aucune perturbation dans le ciel sicilien et dans le trafic aérien." title="A chacun ses NRJ Awards...." />Rouge vif. Plusieurs épisodes d'activité ont été constatés ces derniers jours au sommet du volcan de l'Etna en Sicile. Le dernier date du mardi soir et a pris fin mercredi matin. C'était le quatrième en moins d'une semaine. Deux se sont produits sur le cratère appelé «Bocca nuova» et deux au nouveau cratère du «sud-est». Pour le moment, cette activité volcanique n'a provoqué aucune perturbation dans le ciel sicilien et dans le trafic aérien." border="0" /> Plusieurs épisodes d'activité ont été constatés ces derniers jours au sommet du volcan de l'Etna en Sicile. Le dernier date du mardi soir et a pris fin mercredi matin. C'était le quatrième en moins d'une semaine. Deux se sont produits sur le cratère appelé «Bocca nuova» et deux au nouveau cratère du «sud-est». Pour le moment, cette activité volcanique n'a provoqué aucune perturbation dans le ciel sicilien et dans le trafic aérien. Crédits photo : Milestone Media/Milestone Media/ABACA Dans la catégorie NRJ Awards intempéries: Spécial recompense à la Tour Eiffel et au chateau de Versailles
Dans la poudreuse. Après les récentes chutes de neige, Paris s'est transformée en aire de jeu ce week-end. En se promenant dans les rues de la capitale, on aurait pu se croire au bord des pistes des grandes stations de ski…" title="A chacun ses NRJ Awards...." />Dans la poudreuse. Après les récentes chutes de neige, Paris s'est transformée en aire de jeu ce week-end. En se promenant dans les rues de la capitale, on aurait pu se croire au bord des pistes des grandes stations de ski…" border="0" /> Après les récentes chutes de neige, Paris s'est transformée en aire de jeu ce week-end. En se promenant dans les rues de la capitale, on aurait pu se croire au bord des pistes des grandes stations de ski… Crédits photo : Vincent Isore/IP3 PRESS/MAXPPP Dans la catégorie un "Roi soleil" a pris froid, l'NRJ Award est décerné au: Chateau de Versailles complètement gelé! Le château du froid Soleil. Figé dans la poudreuse, le parc du château de Versailles étincelle sous le froid soleil d'hiver. Fermés au public pendant le week-end, en raison des fortes chutes de neige qui ont paralysé une large partie de la France, les jardins, comme les châteaux de Trianon et l'ensemble du domaine, sont restés drapés dans leur manteau immaculé. Un voile blanc qui a révélé comme rarement les lignes pures du jardin imaginé par Le Nôtre pour Louis XIV. Comme gravés à l'eau-forte, les moindres détails des massifs apparaissent dans leur beauté classique. Sertis par la neige et la ligne sombre des arbres, les bassins gelés reflètent à l'infini la douce lumière du ciel. Voici Versailles dans toute sa majesté." title="A chacun ses NRJ Awards...." />Le château du froid Soleil. Figé dans la poudreuse, le parc du château de Versailles étincelle sous le froid soleil d'hiver. Fermés au public pendant le week-end, en raison des fortes chutes de neige qui ont paralysé une large partie de la France, les jardins, comme les châteaux de Trianon et l'ensemble du domaine, sont restés drapés dans leur manteau immaculé. Un voile blanc qui a révélé comme rarement les lignes pures du jardin imaginé par Le Nôtre pour Louis XIV. Comme gravés à l'eau-forte, les moindres détails des massifs apparaissent dans leur beauté classique. Sertis par la neige et la ligne sombre des arbres, les bassins gelés reflètent à l'infini la douce lumière du ciel. Voici Versailles dans toute sa majesté." border="0" /> Figé dans la poudreuse, le parc du château de Versailles étincelle sous le froid soleil d'hiver. Fermés au public pendant le week-end, en raison des fortes chutes de neige qui ont paralysé une large partie de la France, les jardins, comme les châteaux de Trianon et l'ensemble du domaine, sont restés drapés dans leur manteau immaculé. Un voile blanc qui a révélé comme rarement les lignes pures du jardin imaginé par Le Nôtre pour Louis XIV. Comme gravés à l'eau-forte, les moindres détails des massifs apparaissent dans leur beauté classique. Sertis par la neige et la ligne sombre des arbres, les bassins gelés reflètent à l'infini la douce lumière du ciel. Voici Versailles dans toute sa majesté. Crédits photo : François-Xavier Chauvet/Maxppp/François-Xavier Chauvet/Maxppp Dans la catégorie meilleur effets sonore et visuel, l'NRJ Awards est attribué : (deux fois nommé cette année) Au célèbre mur des lamentations..
Le rouge est mis. L'équipage de ce navire en croisière vers Onslow, le long de la côte occidentale de l'Australie, dans l'océan Indien, a eu pendant quelques longues minutes l'impression assez désagréable que la fin du monde, promise pour le 21 décembre dernier par quelques illuminés obsédés par le calendrier maya, allait finalement bien avoir lieu, mais trois semaines plus tard et juste au-dessus de leurs têtes... Devant eux s'est dressé brusquement un incroyable mur rouge, semblable à une gigantesque vague pourpre couronnée d'écume et prête à engloutir tout sur son passage. Un spectacle à glacer le sang, mais totalement sans danger. Il s'agissait en fait d'une épaisse formation nuageuse chargée de sable rouge emporté par les vents du désert australien. Ouf!" title="A chacun ses NRJ Awards...." />Le rouge est mis. L'équipage de ce navire en croisière vers Onslow, le long de la côte occidentale de l'Australie, dans l'océan Indien, a eu pendant quelques longues minutes l'impression assez désagréable que la fin du monde, promise pour le 21 décembre dernier par quelques illuminés obsédés par le calendrier maya, allait finalement bien avoir lieu, mais trois semaines plus tard et juste au-dessus de leurs têtes... Devant eux s'est dressé brusquement un incroyable mur rouge, semblable à une gigantesque vague pourpre couronnée d'écume et prête à engloutir tout sur son passage. Un spectacle à glacer le sang, mais totalement sans danger. Il s'agissait en fait d'une épaisse formation nuageuse chargée de sable rouge emporté par les vents du désert australien. Ouf!" border="0" /> L'équipage de ce navire en croisière vers Onslow, le long de la côte occidentale de l'Australie, dans l'océan Indien, a eu pendant quelques longues minutes l'impression assez désagréable que la fin du monde, promise pour le 21 décembre dernier par quelques illuminés obsédés par le calendrier maya, allait finalement bien avoir lieu, mais trois semaines plus tard et juste au-dessus de leurs têtes... Devant eux s'est dressé brusquement un incroyable mur rouge, semblable à une gigantesque vague pourpre couronnée d'écume et prête à engloutir tout sur son passage. Un spectacle à glacer le sang, mais totalement sans danger. Il s'agissait en fait d'une épaisse formation nuageuse chargée de sable rouge emporté par les vents du désert australien. Ouf! Crédits photo : Brett Martin/REUTERS/Brett Martin/REUTERS Et le NRJ Award "Et si Dieu de fâchait" à: La tempête de neige .... sur Jérusalem
En noir et blanc. Le sourire aux lèvres, ces jeunes juifs ultraorthodoxes, sagement alignés devant le mur des Lamentations, n'ont pas hésité à interrompre quelques instants leurs prières pour se faire prendre en photo sous la neige qui tombe à gros flocons à Jérusalem. Le 10 janvier dernier, la Ville sainte s'est réveillée sous un lourd manteau blanc, épais de plus de 10 centimètres. Un événement météorologique plutôt inhabituel, immédiatement baptisé «tempête de la décennie» par les médias israéliens. Pendant de longues heures, autobus et tramways n'ont pas pu quitter leurs dépôts et la plupart des habitants sont restés chez eux. Dans la vieille ville, les commerces ont gardé leurs rideaux baissés et les rues sont restées vides, figées par cette insolite poudreuse." title="A chacun ses NRJ Awards...." />En noir et blanc. Le sourire aux lèvres, ces jeunes juifs ultraorthodoxes, sagement alignés devant le mur des Lamentations, n'ont pas hésité à interrompre quelques instants leurs prières pour se faire prendre en photo sous la neige qui tombe à gros flocons à Jérusalem. Le 10 janvier dernier, la Ville sainte s'est réveillée sous un lourd manteau blanc, épais de plus de 10 centimètres. Un événement météorologique plutôt inhabituel, immédiatement baptisé «tempête de la décennie» par les médias israéliens. Pendant de longues heures, autobus et tramways n'ont pas pu quitter leurs dépôts et la plupart des habitants sont restés chez eux. Dans la vieille ville, les commerces ont gardé leurs rideaux baissés et les rues sont restées vides, figées par cette insolite poudreuse." border="0" /> Le sourire aux lèvres, ces jeunes juifs ultraorthodoxes, sagement alignés devant le mur des Lamentations, n'ont pas hésité à interrompre quelques instants leurs prières pour se faire prendre en photo sous la neige qui tombe à gros flocons à Jérusalem. Le 10 janvier dernier, la Ville sainte s'est réveillée sous un lourd manteau blanc, épais de plus de 10 centimètres. Un événement météorologique plutôt inhabituel, immédiatement baptisé «tempête de la décennie» par les médias israéliens. Pendant de longues heures, autobus et tramways n'ont pas pu quitter leurs dépôts et la plupart des habitants sont restés chez eux. Dans la vieille ville, les commerces ont gardé leurs rideaux baissés et les rues sont restées vides, figées par cette insolite poudreuse. Crédits photo : Bernat Armangue/AP/SIPA/Bernat Armangue/AP/SIPA Comme d'habitude j'attribuerai mon spécial plus stupide NRJ Award à: La Corrida Tamoule Corrida Tamoule. Au milieu d'une foule immense qui forme une véritable arène humaine, ce taureau lancé à pleine course tente d'échapper à ses poursuivants. Voici le Jallikattu, une tradition religieuse du Tamil Nadu, dans le sud de l'Inde, pratiquée chaque année à l'occasion de la fête du Pongal, ou célébration des moissons, qui marque le solstice d'hiver. En dépit de son apparente violence, cette course taurine rend hommage aux animaux qui ont accompagné le labeur des hommes dans les champs. Son principe est simple, il s'agit d'attraper à mains nues un ou plusieurs taureaux sous le regard bienveillant des brahmanes qui ont béni les bovins. Un jeu très dangereux qui rappelle autant la course camarguaise que le culte héroïque du taureau de la civilisation minoenne." title="A chacun ses NRJ Awards...." />Corrida Tamoule. Au milieu d'une foule immense qui forme une véritable arène humaine, ce taureau lancé à pleine course tente d'échapper à ses poursuivants. Voici le Jallikattu, une tradition religieuse du Tamil Nadu, dans le sud de l'Inde, pratiquée chaque année à l'occasion de la fête du Pongal, ou célébration des moissons, qui marque le solstice d'hiver. En dépit de son apparente violence, cette course taurine rend hommage aux animaux qui ont accompagné le labeur des hommes dans les champs. Son principe est simple, il s'agit d'attraper à mains nues un ou plusieurs taureaux sous le regard bienveillant des brahmanes qui ont béni les bovins. Un jeu très dangereux qui rappelle autant la course camarguaise que le culte héroïque du taureau de la civilisation minoenne." border="0" /> Au milieu d'une foule immense qui forme une véritable arène humaine, ce taureau lancé à pleine course tente d'échapper à ses poursuivants. Voici le Jallikattu, une tradition religieuse du Tamil Nadu, dans le sud de l'Inde, pratiquée chaque année à l'occasion de la fête du Pongal, ou célébration des moissons, qui marque le solstice d'hiver. En dépit de son apparente violence, cette course taurine rend hommage aux animaux qui ont accompagné le labeur des hommes dans les champs. Son principe est simple, il s'agit d'attraper à mains nues un ou plusieurs taureaux sous le regard bienveillant des brahmanes qui ont béni les bovins. Un jeu très dangereux qui rappelle autant la course camarguaise que le culte héroïque du taureau de la civilisation minoenne. Crédits photo : SUPERSTOCK/SIPA/SUPERSTOCK/SIPA