Les salariés du premier brasseur français prouvent de la plus belle des manières que le sens du partage peut être plus fort que le poids d’un contexte économique difficile. Un acte fort que la Fondation Kronenbourg accompagne en doublant les sommes récoltées ! Depuis plus de 15 ans, la Fondation Kronenbourg s’engage financièrement et humainement aux côtés des femmes et des hommes qui, chaque jour, agissent pour changer la vie de celles et ceux qui en ont le plus besoin.
13 832 € ! C’est la somme récoltée par les salariés de Brasseries Kronenbourg lors de la Campagne de Noël 2012. Un montant doublé par la Fondation Kronenbourg. Ce sont donc 27 764 € que se partageront l’AFTC Alsace et l’ADAPEI du Bas-Rhin.
“L’entraide, la solidarité, le partage… autant de valeurs qui font partie de l’ADN de Brasseries Kronenbourg.” Avec 13 années “de maison”, Éric Demargne, responsable méthode et accompagnement au changement Brasseries Kronenbourg et parrain de l’association AFTC Alsace, sait ce que la Campagne de Noël représente dans l’entreprise : “une véritable tradition” ! Année après année, les salariés se mobilisent en décembre en faveur des associations retenues. “La Campagne de Noël est porteuse de sens, souligne Jean-Claude Reibel, responsable PLV Brasseries Kronenbourg et parrain du projet “monopousseur” de l’ADAPEI du Bas-Rhin soutenu par la Fondation Kronenbourg. C’est un rendez-vous qui tient au coeur des salariés. C’est aussi une vraie dynamique interne dont le succès doit également beaucoup aux salariés qui animent et incarnent la collecte auprès des équipes.”
La remise des dons au bar du site de Strasbourg de Brasseries Kronenbourg, a été aussi l’occasion de revenir sur les actions réalisées grâce au soutien apporté à l’AD’EP (Association de développement en pédopsychiatrie) et à Clair de Terre à l’issue de la Campagne de Noël 2011. Un suivi qui compte beaucoup aux yeux des salariés de Brasseries Kronenbourg. Source : Dossier presse Fondation Kronenbourg
EN SAVOIR PLUS :
Ouverte en 2005, la maison d’accueil spécialisée (MAS) - résidence Galilée est l’un des établissements gérés par l’ADAPEI du Bas-Rhin. Elle accueille 59 adultes dont le polyhandicap nécessite l’intervention d’une équipe socio-éducative afin d’assurer aussi bien les soins que les actes essentiels du quotidien. Adapté à la situation de chacun, cet accompagnement favorise plus particulièrement la socialisation (au sein et en dehors de l’établissement) et le développement des apprentissages, des savoir-faire et des potentialités. Grâce aux dons collectés lors de la Campagne de Noël 2012, l’établissement pourra mener à bien son projet “monopousseur” et proposer une nouvelle activité de loisir autour de la promenade en combiné bicyclette-fauteuil. “Un bol d’oxygène formidable pour les résidents, souligne Didier Boursaud, son directeur. Lors des balades, ils découvriront de nouveaux horizons et éveilleront leurs sens au contact de la nature.” Autre avantage, et non des moindres : la dimension ludique du monopousseur, propice au changement de regard des valides sur le handicap
http://www.adapei67.asso.fr/
Un jardin pour stimuler les capacités cognitives D’une capacité de 15 places, l’accueil de jour d’Illkirch-Graffenstaden a été ouvert fin 2011 par l’antenne alsacienne de l’Association des familles de traumatisés crâniens et cérébrolésés (AFTC). Le parc arboré qui l’entoure a donné naissance au projet “Un jardin dans leurs vies”. Soutenue par les salariés de Brasseries Kronenbourg dans le cadre de la Campagne de Noël 2012, cette initiative veut offrir aux personnes cérébrolésées la possibilité de réveiller, au contact de la nature, certaines zones du cerveau en lien avec les sens et les émotions. “Participer à la réalisation du jardin permet déjà à certains bénéficiaires de retrouver des gestes d’avant…”, note Christine Vanderlieb, directrice de l’AFTC Alsace. Après le jardin paysagé et le potager biologique, le chemin de déambulation sera terminé fin janvier. Les jeux d’eau (avant l’été) et le boulodrome suivront si d’autres soutiens s’ajoutent à celui de la Fondation Kronenbourg. Le jardin accueillera-t-il d’autres publics ? “Nous y réfléchissons, répond Christine. Pour une personne cérébrolésée, le travail d’acceptation de soi, de son corps, passe en effet aussi par le regard des autres.”
http://www.aftcam.org/