Pas fan des documentaires, c’est avec une légère inquiétude que je me suis installée dans mon siège du cinéma les variétés, l’une des rares salle d’arts et d’essais de marseille, oui la capitale de la culture, où lorsque vous avez des envies de balade hors des sentiers battus cinématographiques,il faut accepter de vous geler les miches. Ici, le chauffage est en panne depuis des mois. Panne mythique, qui se renouvelle chaque année, panne qui ressemble un. Peu à du foutage de gueule, panne qui,vous l’aurez compris à le don de me mettre en colère. Et grave. Car c’est la deuxième fois cette semaine que je vois une petite merveille, qui me met en joie, me chauffe le cœur, alors que je finis recroquevillée sue mon fauteuil, recouverte de mon manteau. Un vrai bouchon au chocolat : chaud à l’intérieur, froid à l’extérieur !
Sugarman, nous raconte l’histoire d’un disque qui a traversé les continents, d’un homme qui a traversés des épreuve qui ont laissé intacte son âme de poète, de peuples, de lutte et de quête de liberté.
Et puis cette musique, qui ne se raconte pas, qui m’accompagne, me hante, que je serine à mon corps défendant, au risque de faire sourire (voire pire ) l’amoureux, va me bercer jusqu’au bord de l’endormissement …
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