Soyons clair, les chansons de Britney Spears sont pour moi aussi insipides que de la soupe à l’oignon faisandée laissée pour compte sur le bas côté d’une route de province .
Ce postulat énoncé, je joue mon joker en laissant voir le début infra-moléculaire d’une acceptation passagère (de courte durée avec expiration rapide) du dernier opus de la donzelle blonde. Horreur, malheur et stupéfaction ! Aurais-je chuté tellement bas pour devenir le dernier apôtre de cette culture “bouffe neurones” importée d’outre-atlantique ?