Hier soir nous avions décidé de prolonger la soirée devant la télé. Oui je sais cela peut paraître étrange, mais était diffusé « il y a longtemps que je t’aime » que nous n’avions jamais vu. Et puis c’était Arte, on pouvait. On papotait, on regarder, nous sommes des filles, nous pouvons, et boire du thé faire trois choses à la fois. Et puis le silence se fit. Ce fut l’instant où l’instant où l’enigme se dénoue, la tragédie atteint son apogée … Et les larmes fusent. La lumière était éteinte, nous avions été averties du risque, nous ne sommes pas pudiques, mais avons des limites, le mascara qui coule, des rigoles de larmes, la morve au nez, ben faut pas pousser, nous avons nos limites. Mais nos reniflements nous ont trahis, nous sommes regardées abasourdies, nous sommes écriées, non mais tu pleures ! Avons dû reconnaître, que oui nous nous étions faites avoir par les grosses ficelles éculées de ce mélo.
Sans doute affaiblies par l’émotion, nous en sommes arrivées aux honteux aveux, La route de Madisson, que je réservé aux situations graves, aux jours de chagrins qui restent coincés là en travers de la gorge. la scene finale de Tu seras un homme mon fils, que je ne vous raconterai pas, suis pas si cruelle. Celle d’une Etoile est née. Et puis, Bambi, le premier chagrin. Voilà c’est fini de Dalida, marche sur moi à tous les coups. Je sais c’est pas glorieux. Et puis elle m’a pleurer devant les pubs … Et à remporter mon estimé !