Et en plus, il y a un réel suspense. Miklos peut effacer vos commentaires malencontreusement. Ca se passe au moment de la validation. Vous me direz, suffit d'accepter a priori les commentaires. Cela dit, les coups ont l'air de pleuvoir autour de Miklos. Un vrai western sur son autre blog. Je me rends compte depuis qu'il y a des commentaires sur mon blog que des fois les gens exagèrent.
J'ai même déjà supprimé un commentaire. Un jour, mon Blues Brothers préféré a appuyé deux fois sur la touche "publier commentaire". Un jour ou une nuit comme dirait machine. J'ai dû supprimer. A regret car tout ce qu'il écrit me touche profondément et que j'aime son écriture fluide, alerte et débauchée (déclaration d'amour).
Pour revenir à l'autre blog de Miklos, c'est un truc que je ne comprends pas. Avoir un blog sur wordpress et un autre sur LeMonde.fr, quel intérêt ? Ca permet de s'auto-citer(1). Y avait la vélocité, voilà l'auto-cité. Sur le net, certains ont même de l'autorité. Je sens que je suis à un doigt d'inventer un autre concept. N'oubliez pas que je suis l'auteur du concept de "décroissance de l'intime", enfin, co-auteur. Le Dr Pepper a été l'indispensable aiguillon de mes recherches.
Je reviens à mon billet chez Miklos, vous ne le lirez peut-être jamais. C'est bien finalement, c'est une forme de liberté (2).
Félicitons donc Miklos d'être fébrile (parfois).
(1) Petite note de bas de page, disons : la note de station-service. Auto-citer : se pomper soi-même, pomper son essence dirait Camus, précéder son existence pour Sartre. Le titre du blog de Miklos l'annonce franchement : I am what I am. Comme vous l'observez, il y a deux fois I am (je suis, littéralement en anglais). Allez, faites un effort : il suit, lui. Qu'est-ce vous en pensez ? Vous avez fait le plein.
(2) Note ça dans un coin : la photo que vous voyez a été prise par mon appareil lors de la cérémonie d'ouverture des JO du commentaire. Je n'y étais pas.