30-23. C’est pas Krumbohlz qui prend ça d’habitude ?
Il faudra attendre longtemps avant de revoir la France championne de quelque chose mais on s’en fout un peu. On s’en fout depuis qu’on a découvert la vérité : même un handballeur peut être maqué avec une idiote, son frère avec une conne et être encore plus débiles qu’elles. Du moment qu’elles écartent les guiboles comme dit Onesta avec son faux accent créé de toutes pièces pour ne pas qu’on le confonde avec Costantini. Ca risque pas, Costantini avait du talent, Onesta de la gueule. Sauf quand il démonte une table ou sélectionne des futurs taulards pour mieux foutre la merde dans son équipe, là il sait influencer son destin. Comme Karabatic quand il est persuadé que s’il demande à sa meuf de parier, c’est pas lui qui parie. Quand il télécharge une application, c’est son smartphone qui l’encule.
La fée Kara bosse
Et sur le terrain, alors ? On aurait eu bien besoin d’un Didier Dinart pour solidifier la défense, mais 2001 et la grande Suède écrabouillée en prolongations c’était il y a 12 ans. Onesta ne pouvait décemment pas l’obliger à revenir, ou alors autant sélectionner Daniel Narcisse ou Jerome Fernandez puisque Jean-Louis Legrand n’est plus des notres et que Richardson humidifie Estelle Denis. Il était sans doute jaloux du maillot de bain de Nikola. Plutôt jouer ou jouir ?
Pendant ce temps-là, Dinart et Fernandez avaient le sourire. D’enfin ne plus voir Onesta ?