La mesure de l’impact social est de plus en plus importante dans la sphère de la RSE. Ainsi, directeurs RSE et RH doivent aujourd’hui apprendre à travailler main dans la main, afin d’établir et de suivre des indicateurs, sur des aspects tant sociaux que sociétaux (en lien avec la société). Longtemps, la RSE a été associée aux aspects environnementaux, a priori plus faciles à suivre et à mesurer. Les thématiques sociales et sociétales émergent cependant et sont de plus en plus prises en compte dans les organisations.
Aussi, le rapport Grenelle II demande aux entreprises des comptes sur les aspects sociétaux – impact territorial, sur les riverains, sur les parties prenantes, sur les sous-traitants – mais également sur les aspects sociaux – égalité professionnelle, diversité (dans un monde où l’on ne parle pas de statistiques ethniques), absentéisme, handicap, formation, conditions de travail.
Ces thématiques illustrent très bien les nombreux défis que les entreprises d’aujourd’hui ont à relever. Mesurer l’impact social d’une entreprise n’est alors pas aussi simple que de mesurer sa performance financière. Comment chiffrer l’impact social de son organisation ? Par quoi commencer ? Quelles données prendre en compte ? Comment mettre en place des indicateurs pertinents et efficaces ? Si vous aussi, vous vous posez ces questions, rejoignez-nous le 31 janvier à Paris ; nous vous apporterons des réponses lors de l’évènement sur les RH et la RSE organisé par Nicomak, notamment à travers les témoignages de Pierre Besson, Chef de projet de Great Place to Work et de Cristina Lunghi, Présidente-Fondatrice d’Arborus.