Je tiens à signaler que l'article qui suit n'ait que ma simple et humble analyse d'après lectures des deux discours des vœux 2013 de "Gilles Launay" et "Hervé Maurey".
Alors oui, ça y est c'est la période des vœux.
Et nous le savons nos politiciens locaux et régionaux n'y coupent pas et y vont alors de leurs souhaits. Souhait à la population.
Souhait comme pour rappeler qu'ils sont la près à prendre la place de l'autre et évidement à nous offrir beaucoup plus que le précédent n'a ou n'aurais pu le faire lui-même (rire).
Les vœux donc au départ ont été quelques chose de vite détournée de leurs sens premiers et ce, soit-disent, pour faire montre d'une politesse des hommes qui gèrent nos villes envers la population qui les élises, ainsi c'est vœux sont d'une certaine façon, une manière de flatter autrui en lui promettent une année meilleurs alors qu'ils savent très bien qu'elle ne le sera pas (enfin d'après moi, rire).
Oui, que tous ceux-là nous souhaitent leurs bons vœux dans une versions soft, dirais-je "Banal" OK, mais là, enveloppés de mille phrases pléthoriques pourquoi?
Car pour au final simplement nous donner en quelques sorte les grandes lignes (les bases futures) soit de leurs programme politique - soit de ce dont ils ont besoins de notre part pour l'année nouvel.
Car un parti ou un homme politique, peu importe ici son rayon d'action, pour moi n'existe que grâce à ceux, celles qu'ils réussissent à draguer.
Alors bon, pour c'est vœux là, qui croire ?
Qui dit vrai ?
Quels discours et le meilleur ?
Et surtout je crois lequel et le plus vrais ?
Ainsi, tous ont une part de vérité dans leurs discours.
Mais tous aussi et quelques part hors d'eux sont utopistes.
Car ils savent très bien que, ni les uns, ni les autres ne pourrons tenir les promesses qu'ils nous projettent (outres tirée de faits concrets de tel ou tel choses, etc.).
Bien sûr, chacun d'entre nous, mais aussi, celons nos convictions politique personnelle, soutiendrons mordicus tels ou tels des hommes futures candidats à la place de maire - calife (rire).
Mais au final et honnêtement, sommes-nous, au fond de nous, réellement convaincu du bienfondé de leurs discours ?
Je ne dis pas que tous c'est discours là sont inutile mais bon.
Qui des diverses droites ?
Qui des diverses gauches vont vraiment réussirent à enrayées les maux de notre société en un claquement de doigt, en révolutionnant - bouleversent même, ceci cela, dites-moi ?
Que demande le français lambda ?
Des moyens financiers plus aisés, des baisses sur tels ou tels choses non ?
Alors, après tous les beaux discours et projets des uns des autres la population de bases celle chère à Mr Raffarin oui, "La France dans bas" quelles sont c'est aspirations ?
Alors, il est intéressant même de voir que chacun appel de ses vœux pieu que l'autre dégage même si leurs formules sont plus aérienne et polie que moi (rire).
Oui, chacun espère que l'autre se prenne les pieds dans le tapis, etc., mais tous cela et de bonne guerre, j'avoue (rire).
Oui, bref, tous ries, parfois même dinent ensemble, et oui s'est cela la politique (locale, régional et nationale).
Alors, les cérémonies des vœux sont entrée si je puis dire, dans les mœurs.
Il n'est pas une ville, pas un village qui n'est les leurs.
Tous comme le serrage de main le samedi matin sur les marchés, chacun y va de son coup de "Pogne".
Ses vrais remarqués, si l'un de nous ne les donne pas à nos voisins celui-ci risque de s'inquiéter.
Il risque de se dire, "Tiens on n'a pas reçue les vœux d'un tel ou d'un tel" oui, on s'en inquiètera même en fait.
Alors que les vœux soit nationaux ok, qu'ils soient lancé à la population française pour donner en quelques sortes le pouls du pays, de sa politique général, et de ses aspirations futures par le président de la république, là, ok.
Mais là, à échelle local, outre le côté sympathique de la chose (cidre - jus de fruits - champagne et petit fours) ou est vraiment leurs réelles intérêts ?
"La politesse" Mr me répondras t'ont, ah, bon.
Alors, chacun, lors de leurs vœux y vont de leurs invectivent malignes envers l'autre, en gros "L'un dit cela et bien moi je dis le contraire" (rire).
Bien sûr, chacun aura les arguments pour démontrer qu'il a raison dans son propos.
J'avoue aussi que dans chacun des discours que j'ai pu lire il y à quelques vérités, cela est évident.
Car la ville en elle-même à des besoins certains concrets et après, ai-je envie d'écrire, peu importe qui est à la tête de la mairie, de toute façons c'est choses-là doivent-être faite, mais bon.
Dites-moi, sur de longs discours, je crois qu'un minimum de mots allant droit à l'essentiel serait le bien venue, non ?
Car, comme dit le proverbe "Un mot vaut mieux que de longs discours" (rire).
Ainsi, j'ai, pour les besoin de cet article, récupéré les deux discours des deux parties les plus importent à Bernay.
Je parle de :
· "L'UMP - NC" (Hervé Maurey).
· "Le Socialisme" (Gilles Launay).
Et voilà à idée égal les vœux de chacun d'eux.
Je ne parle pas des vœux des autres branches politiques représentées à Bernay car elle ne m'intéresse pas et je suis là encore fidèle à moi-même (les extrêmes servent-elles à quelques choses ?).
Car qu'il y est à Bernay 2-4-6 ou 8 parties politiques différents je sais qu'au final la quasi-totalité va venir rejoindre les rangs de l'un ou l'autre des deux parties unique des deux grands candidats Bernayens.
Donc, la diversité politique oui, seulement si elle a vraiment des choses neuves et différentes à offrir, à dires aux électeurs potentielles que ce avec quoi on nous bassine tout le temps.
Alors, la gauche dit pour ouvrir le bal :
"N’ayons pas peur de l’année qui vient ! Dans un contexte économique morose où la peur du lendemain occupe les esprits de beaucoup, présenter ses vœux est un exercice difficile. Et pourtant, tradition oblige, c’est avec beaucoup de sincérité que je vous adresse mes vœux de bonne année et de bonne santé pour 2013" (1).
On sent déjà le ton donner des invectives à demie cacher.
On sent aussi une volonté d'encré le discours dans une réalité actuel.
Alors, même si le mot "Peur" et employé ici dans le sens de justement ne pas dramatisé - sclérosé nos craintes et nos besoins, le mot est dit comme si rien sous la gauche du gouvernement pourrait-y changer quelque chose.
Chacun impute à l'autre les maladresses les maux du pays.
Donc quelques part, des vœux pour moi, ne se doivent pas alarmiste, mais se doivent d'être positif.
Oui, tous va mal en France mais est-ce une raisons pour nous y mettre le nez direct dedans ?
Et pour moi commencer un discours par cette accroche-là me semble, comment dire, négatif, ai-je ne crois pas que cela soit la meilleur approche.
Alors, évidemment la municipalité répons :
"2012 s’en est allée il y a maintenant deux semaines et si, au niveau national, le slogan de l’année restera "Le changement, c’est maintenant", à Bernay, nous avons souhaité maintenir notre cap, celui qui consiste à concilier gestion rigoureuse et actions ambitieuses mais réalistes" (2).
Le ton là est donné.
Clair positif et les mots sont alors importent.
"Cap - rigueur - actions et ambitions" le discours roder et cibler vers le positif et cela fonctionne.
Le maire s'est ou il va (il sait trouver les mots) et comment mené sa barque, même s'il aime jouer à taclé l'opposition par quelques mots / paraphrase type.
SUITE SAMEDI...