Le fil de ma réflexion sur ce qu’apprend l’école au Français
me conduit à une idée bizarre. « Aimer » aurait deux acceptions. Ma discussion de communication et changement va d’ailleurs
dans le même sens.
L’acception
française, d’abord. Elle est basée sur la certitude. Aimer, c’est imposer aux
autres ce que nous pensons bien pour eux. Déjà, l’Ancien régime voulait
enrichir le paysan par la force, disait Tocqueville !
L’acception que je préfère, et qui est en contradiction totale avec la précédente, part du doute. Elle demande de
comprendre l’autre. Aimer, c'est avant tout reconnaître que l'autre est un être complexe. Donc, digne d'intérêt et d'étude. Et ensuite ? Je ne sais pas trop. Il faut chercher...