Climat politique exécrable, température polaire, ciel bas, la fête olympique n'a pas eu lieu . Il faut que côté intimité, Paris pouvait faire mieux. Trois mille policiers, un hélico, des vedettes sur la Seine et un comité d'accueil anti-chinois plutôt remonté ont étouffé cette malheureuse flamme olympique. Sans la contestation pour le Tibet, on aurait peut être eu la chance de voir Sarko en short remonter les Champs Elysées avec Fillon . Raté ! Circulé, il n'y a rien à voir d'autant que cette foutue flamme a réalisé la moitié du trajet en bus. La route vers Pékin est encore très longue. Si l'accueil dans chaque ville lui offre la même chaleur , ce marathon olympique planétaire va tourner au cauchemard pour le CIO .