Alors, ça y est, le nouveau disque de Claire Diterzi est sorti, Le salon des refusées, je le découvre progressivement.
La chanson qui m’a accrochée l’oreille est celle-ci, que je trouve très belle. Douloureuse et austère malgré les arabesques orientales du chant. La viole de gambe, à la fin du morceau, vient enluminer l’ensemble d’un éclat cru, beau et froid.
Je n’ai pas fini de vous en parler.