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Mon jeu du moment: Professeur Layton et le Masque des Miracles
Publié le 19 janvier 2013 par Poisseman @PoissemanLa cinquième aventure du fameux détective de Level 5 (sans compter l'excellent long-métrage) est sortie en fin d'année pour la première fois sur 3DS. Pour ma part, je n'ai joué qu'aux deux premiers opus avant celui-ci, et les très bons moments que je passe actuellement me donnent envie de découvrir ceux que j'ai manqué. Mais revenons donc à cette nouvelle enquête à la 3D fort agréable, qui nous renvoie à l'adolescence du professeur.
Layton et ses compagnons sont appelés à l'aide par une amie d'enfance du prof, un homme aux pouvoirs magiques faisant de terribles dégâts dans une petite ville située en plein désert. Portant sur lui le masque des miracles, une relique ancestrale qui donnerait à son porteur des dons miraculeux, le malfaiteur transforme devant nos enquêteurs des personnes en statues de pierre avant de se volatiliser. Une investigation de longue haleine est alors lancée - qui est le maître du masque? ses pouvoirs sont-ils réels? quel est son but? - nous ramenant même via des flashbacks au passé trouble de Layton, avec la découverte de l'objet et la disparition de son meilleur ami.
Côté gameplay, la recette n'a pas changé d'un chouïa avec 150 énigmes à résoudre, plus d'autres à télécharger rien que pour le plaisir - une par jour sur un an, soit 365! - de se faire chauffer les neurones. La difficulté est variable et dans l'ensemble assez raisonnable, et les mini-jeux optionnels encore une fois réussis, avec le dressage d'un lapin de cirque ou encore la gestion d'étalages de boutiques. Techniquement, il n'y a pas de grandes différences avec les titres DS, seulement quelques décors que l'on pourra dérouler et l'ajout bien sûr de la 3D.
L'enquête est prenante, l'humour omniprésent et le doublage toujours très bon, les énigmes accrochantes et la durée de vie conséquente: ce nouvel épisode apporte sa pierre à l'édifice de la saga tout en restant fidèle à ses principes et son aspect visuel, et c'est tant mieux!