Féminisme and Co

Publié le 18 janvier 2013 par Alexcessif

source: http://www.priceminister.com/offer/buy/1927036/Flori-Jean-Alienor-D-aquitaine-La-Reine-Insoumise-
Livre.html


Je fréquente discrètement et plus que de raison des blogs féministes  assez intellos, je dois dire. Comme je suis assez pote avec les idées de çi de  de ce féminisme exacerbé, que l'on pourrait trouver extrême si sa raison d'être n'était pas dans les siècles de mâlitude oppression, moi qui  soigne mon machisme à la vaginothérapie j'apporte avec cette évocation de l'insoumise Aliènor, ma pierre à l'édifice branlant du mec plus ultra.
Bon! les chiennes de gardes vont trouver que les motivations d'Aliènor, vues par un encouillé, sont un peu délocalisées dans le panty, mais blague à part, Aliènor tient sa place de suffragetteentre Hypathie et Olympe de Gouge ou Thérésia Cabarrus.

Piqûre de rappel historique, je vous la fait courte: en 1152 après le divorce d'Aliénor d'Aquitaine et de Louis VII le Jeune, plus porté sur la prière que sur le frisson crapuleux, Aliénor, en jachère et caliente comme une baraque à frites, rencontre sur Mytic.fr Henri II Plantagenêt dit la poutre de Westminster. Romantique autant que pragmatique, elle range son patriotisme dans le panty et un Eurostar plus tard, déboulle à London avec la Guyenne dans son hennin et un barricot de Clairet de Quinsac sous le bras. Riton II, serrurier opportuniste, lui bricole la ceinture de chasteté sur l'air de:

 "Ah mon dieu quel bonheur
d'avoir un mari qui bricôôôôle
Ah mon dieu quel bonheur 
d'avoir un mari bricoleeeeeeur!"
et ainsi libérée la Guyenne devint anglaise dans la volupté avec pas mal de privilèges et de profits pour l'Aquitaine. Nous voilà partis pour quelques bisbilles qui aboutiront plus tard à la "guerre de cent ans". En attendant la communauté européenne prévue dans un demi millénaire, on échange avec les aïeuls de Lady Di et les ancêtres des Beatles quelques horions, on s'interroge à la tenaille rougie à blanc pour connaître le digicode de quelques ribaudes, on s'empale dans la joie et s'étripe dans la bonne humeur jusqu'à ce que, non contents de boire de l'eau chaude avec des feuilles dedans et de faire bouillir les viandes rouge, ils vint aux "Godons" l'idée de rôtir la viande blanche, autrement nommée Jeanne la pucelle, à Rouen en 1431. C'en est trop, et pour punir ce double outrage à la chasteté et à la rôtisserie, rendez-vous fut prit au château de Castegens pour l'ultime castagne dite "bataille de Castillon" où John Talbot perdra en l'an de grâce 1453 contre Michel Pérunin par 3 à 0 (Michel, c'est le finisseur qui achevât John d'un coup de hache d'où sans doute l'origine de l'expression "on s'est fendu la gueule!" qui de nos jours à une connotation plus festive). L'affaire est conclue mais pour l'Aquitaine, les conséquences ne sont pas bénéfiques. Plus question de chartes au contenu libéral, plus question de "consentir " l'impôt. Jean de Foix, fils de Gaston 1er dit le Lion des Pyrénées, restaure quelques privilèges aux Castillonnais pour calmer le jeu et on se reverra à la prochaine coupe du monde.