Là où le cinéma rencontre la musique se créent des morceaux extraordinaires.
Du “What more can I say” du Black Album de Jay-Z qui samplait un discours de Russel Crowe dans Gladiator, en passant par le fameux titre d’Enio Morricone (L’Estasi Dell’Oro) samplé mille et une fois lui aussi, l’edit présenté ici relève d’une certaine tradition liant cinéma et compositeurs italiens. De Mascagni à Einaudi en passant par Morricone ou encore DJ Tennis, l’Italie, berceau des arts classiques, continue à enfanter des musiciens d’exception.
À l’honneur ce jour ce morceau splendide de Ludovico Einaudi qui figure dans la Bande Originale du film “Intouchables” sorti l’année dernière. Edité par Alexander Aurel, il se pare d’un beat electro que vient magnifier le piano original. C’est planant, comme en témoigne le titre du morceau, Fly.
Et pour le plaisir, ce morceau du bon Jay-Z samplant Ennio Morricone. C’est quand même très bon.
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When cinema meets music to create the most extraordinary productions.
In “What more can I say” on Jay-Z’s Black Album features a sample monologue by Russel Crowe from the Gladiator, then there’s Enino Morricone with his famous title (L’Estasi Dell’Oro/The Ecstasy of Gold) sampled thousands of times as well, and the edit we’ve presented here fully embodies this ongoing tradition of linking cinema with Italian composers. From Mascagni to Einaudi, including Morricone as well as DJ Tennis- Italy, the birthplace of classical art continues to bring forth exceptional musicians.
Today we honor a beautiful piece of Ludovico Einaudi’s found within the soundtrack of the film “Intouchables” released last year. Edited by Alexander Aurel, the melody is enhanced with an electro beat glorifying its original piano version.
And just for our pleasure, this classical Jay-Z piece. It’s all good.