Le mépris sème son indifférence,
Quelle vérité chez cet autre connaît-il,
N’aurait-il un zeste de doute,de compassion,
De saine retenue avant d’étaler son dédain,
S’en remetre au mépris est déjà trahir son amour,sa vérité,
Est s’oublier en une folle ignorance,
Davantage mainmise de sa propre souffrance sur la réelle ambition de son âme,
Vers l’excellence de son élévation.