Barack Obama a appelé dans son discours au Congrès à « effectuer des recherches sur l’effet des jeux violents sur les jeunes esprits ».
Le président américain a affirmé qu’il était nécessaire de connaître l’éventuelle influence des jeux vidéo violents :
Nous devrions financer des recherches sur les conséquences des jeux vidéo violents sur les jeunes esprits. Nous ne retirons aucun bénéfice de notre ignorance sur le sujet.
L’ESA (Entertainment Software Association), association consacrée aux relations publiques des entreprises de jeu vidéo, a réagit dans un communiqué officielle qui ne dénie pas la nécessité de surveiller l’usage des jeux tout en les disculpant.
L’ESA approuve les conclusions du rapport selon lesquels les industries du divertissement et du jeu vidéo ont pour responsabilité de donner aux parents des outils pour choisir ce que leurs enfants voient et à quoi ils jouent.
Ce loisir est utilisé dans de nombreux pays et cultures, mais le nombre élevé de violences liées aux armes est propre à notre pays.Les recherches scientifiques internationales prouvent que le divertissement n’est pas une source de violence dans le monde réel.
Une manière de se disculper tout en encourageant la politique du gouvernement de manière habile : puisqu’il n’y a rien à craindre d’éventuelles études selon l’ESA, celle-ci ne risque rien en soutenant Obama.