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Quand les oiseaux festoient à mes frais

Publié le 17 janvier 2013 par Mamlea
Quelques invités de l'hiver 2012/2013.
Très occasionnel, le gros bec (Coccothraustes coccothraustes) picore les graines au sol.
Quand les oiseaux festoient à mes fraisNouveau cette l'année, le pic épeiche (Dendrocopos major), ici un mâle comme l'atteste sa nuque rouge, est venu se percher à la mangeoire qui n'est vraiment pas adaptée à sa taille. Quand celle-ci est vide, il tape dessus comme un sourd, j'ignore si dans sa cervelle d'oiseau il pense faire sortir la nourriture comme il le ferait sur un arbre ou s'il s'adresse au bureau des réclamations ? Il va finir par tout casser le bougre, mais comment lui en vouloir, il est si beau !
Quand les oiseaux festoient à mes frais
Quand les oiseaux festoient à mes fraisLes mésanges de toutes sortes sont les convives les plus abondants. Sur la mangeoire enneigée, une mésange charbonnière (Parus major), la plus commune.
Quand les oiseaux festoient à mes fraisDe l'autre côté de la maison, les mésanges sont venues très tôt en novembre réclamer pitance en tapant aux carreaux ! S'y succèdent la mésange charbonnière, la mésange bleue (Cyanistes caeruleus ex Parus caeruleus, plus petite et la mésange nonnette (Poecile palustris ex Parus palustris), encore plus petite, ne craignant pas le chat (Felis silvestris catus) qui bave d'excitation derrière la vitre... Je parle de Bidule, le gros pataud, parce que Muscat a bien compris qu'ils étaient inaccessibles à ses moustaches et fait l'indifférente !
Quand les oiseaux festoient à mes frais

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