Ce matin, avant ça, nous écoutions le Jeu des mille euros au petit déjeuner et vient une question sans malice : l'auteur de la nouvelle dont Blake Edwards s'est inspiré pour son célèbre Diamants sur canapé. Pas de réponse. La question est reposée et la dame répond : Scott Fitzgerald Kennedy. Juste, je ne savais pas à qui raconter ça.
Dans ce jeu de tir à l'arme à feu en trois D, on peut choisir son flingue, parmi des armes d'assaut comme le AK47 ou le M16. Mais ce n'est pas un jeu pour les tout petits, la NRA précisant que son jeu est accessible, uniquement, à partir de quatre ans.
Pendant ce temps, le Président Obama se débrouille pour civilliser son pays de cons et réguler le marché florissant des armes. Et d'autres militent pour l'abolition de la peine de mort...
Rendez nous Charlton Heston !
Au cinéma, pendant ce temps, on retient son souffle. The Master est beau à le couper (le souffle, oui) et quant au reste, son réalisateur tente un retour au cinéma hollywoodien des années fastes en restituant une ambiance visuelle et sonore très années cinquante. Mais à ce propos, à la télé hier soir, j'ai revu un extrait de Niagara d'Henry Hataway (1953) avec l'authentique Marilyn Monroe et je me disais, comme Le Pen, pourquoi choisir Copé, quand on peut avoir l'original...
Extrait de Niagara. Coupez la pub du début, si vous pouvez...
J'écris ça avec un certain remords et quelques regrets dans le clavier, car The Master, avec son Joaquim Phoenix en James Dean épileptique, est quand même ce qu'on peut voir de mieux actuellement sur nos pauvres écrans... En attendant Tarantino, bien sûr.
A bientôt, chers losers, bons films, bonnes lecture et
bonne manif le 27 pour l'égalité,
mais on en reparle d'ici-là.