Après ne pas avoir répondu à la question, c'est quoi être français, je vais ne pas répondre à c'est quoi un blog de musique. Oui, c'est très intéressant comme nouvelle rubrique, ça pose des questions sans y répondre. Mais c'est pénible à la fin, ces gens qui savent tout sur tout. Lucie et Ferdinand ont un papa qui ne sait pas grand chose et qui le revendique. Tant pis pour eux. D'abord, pourquoi de musique ? Je vous ai déjà donné un aperçu de ma passion. Enfin, pas n'importe quelle musique, hein : en gros, du rock indépendant et de la variété française. D'ailleurs, en parlant de "variété française", je viens de voir les nommés pour les Victoires de la musique (Dominique A, Barbara Carlotti, Rover, etc), vu comment ils ont tout "pompé" sur la musique à papa, c'est à se dégoûter de faire, comme les années précédentes, mes propres victoires 2013. Sinon, je me suis toujours posé la question de savoir comment certains faisaient pour écouter autant de styles musicaux différents, d'être comme qui dirait éclectiques. Mais, une passion, ça tranche dans le lard, ça sectionne. Forcément, ça fait mettre des boules Quiès sur le reste. Il ne peut y avoir de demi-mesure. Et, un blog, ça permet d'évacuer tout ça. De pouvoir partager. Parce qu'on n'est pas si nombreux. Et que pour me sentir moins seul, j'ai donc créé ce blog. Pour preuve que je fais désormais d'une grande famille, "la musique à papa" se transformera pour la première fois, à partir de la semaine prochaine, et ce pour 15 jours, en réunion du club des mangeurs de disques (oui, je sais, dis comme ça, ça fait un peu secte "discophage"...). Je suis aussi un musicien frustré. Oui, c'est le propre de ceux qui parlent de musique. Souvent, c'est parce qu'ils auraient voulu vivre de la musique, de leur musique, mais comme ils n'ont pas le talent, ils se contentent d'en parler. En tout cas, c'est ce que beaucoup pensent. Moi aussi, au départ, je pensais la même chose. Je me disais, c'est parce que je suis trop feignant pour apprendre à jouer correctement d'un instrument. Que de toute façon, je ne suis pas très doué pour ça. Et puis, au fil des années, je me suis dit que non. C'est ce qui me plait, au fond, parler de musique. C'est plus confortable. On n'est plus dans l'action mais dans la réaction. Mais ça doit faire partie de cette mauvaise foi qu'on acquiert avec l'âge. On s'auto-persuade qu'on est dans le vrai. Pour ne pas avoir à rougir devant ce petit enfant qu'on était et qui rêvait... Car, un enfant, ça rêve, non ?
Après ne pas avoir répondu à la question, c'est quoi être français, je vais ne pas répondre à c'est quoi un blog de musique. Oui, c'est très intéressant comme nouvelle rubrique, ça pose des questions sans y répondre. Mais c'est pénible à la fin, ces gens qui savent tout sur tout. Lucie et Ferdinand ont un papa qui ne sait pas grand chose et qui le revendique. Tant pis pour eux. D'abord, pourquoi de musique ? Je vous ai déjà donné un aperçu de ma passion. Enfin, pas n'importe quelle musique, hein : en gros, du rock indépendant et de la variété française. D'ailleurs, en parlant de "variété française", je viens de voir les nommés pour les Victoires de la musique (Dominique A, Barbara Carlotti, Rover, etc), vu comment ils ont tout "pompé" sur la musique à papa, c'est à se dégoûter de faire, comme les années précédentes, mes propres victoires 2013. Sinon, je me suis toujours posé la question de savoir comment certains faisaient pour écouter autant de styles musicaux différents, d'être comme qui dirait éclectiques. Mais, une passion, ça tranche dans le lard, ça sectionne. Forcément, ça fait mettre des boules Quiès sur le reste. Il ne peut y avoir de demi-mesure. Et, un blog, ça permet d'évacuer tout ça. De pouvoir partager. Parce qu'on n'est pas si nombreux. Et que pour me sentir moins seul, j'ai donc créé ce blog. Pour preuve que je fais désormais d'une grande famille, "la musique à papa" se transformera pour la première fois, à partir de la semaine prochaine, et ce pour 15 jours, en réunion du club des mangeurs de disques (oui, je sais, dis comme ça, ça fait un peu secte "discophage"...). Je suis aussi un musicien frustré. Oui, c'est le propre de ceux qui parlent de musique. Souvent, c'est parce qu'ils auraient voulu vivre de la musique, de leur musique, mais comme ils n'ont pas le talent, ils se contentent d'en parler. En tout cas, c'est ce que beaucoup pensent. Moi aussi, au départ, je pensais la même chose. Je me disais, c'est parce que je suis trop feignant pour apprendre à jouer correctement d'un instrument. Que de toute façon, je ne suis pas très doué pour ça. Et puis, au fil des années, je me suis dit que non. C'est ce qui me plait, au fond, parler de musique. C'est plus confortable. On n'est plus dans l'action mais dans la réaction. Mais ça doit faire partie de cette mauvaise foi qu'on acquiert avec l'âge. On s'auto-persuade qu'on est dans le vrai. Pour ne pas avoir à rougir devant ce petit enfant qu'on était et qui rêvait... Car, un enfant, ça rêve, non ?