Reprenant mes sujets théoriques favoris je vous propose de répondre à la question : 1-3 :Oùsituerla limite inférieure de l’espace relevant de propriétésquantiquesreconnues ,expérimentales et sures ?
-Cela signifie t- il Papyquetu vas encore essayer de définir les frontières de l’espace quantiqueet par conséquent pouvoir nous dire où se situent les bornes d’entrée de l’espace subquantique ?
-Oui et non PIERRE !Comprends moi bien en effet: d’abord , car il s’agit autant de Sémantique que de PhysiqueThéorique etLogique !......Ou bien les lois de laMécanique quantiquese prolongent jusqu’à l’infiniment petitMathématique( allez pour simplifier !/ parlonsd’ un point xyzde dimensions Δx=Δy=Δz=0 dans un espace géométrique à topologieouverte 3D connexeabsolument vide de matière et de radiations)……ET dans ce cas l’espace subquantique n’est qu’ un sous ensemble de l’espace quantique et on pourrait même supprimer le préfixe sub …… Ou bienil existe bien une limite( c’est à dire une échelle) dans laNatureoù les lois de laMécanique quantiques’appliquentET PLUS DU TOUT EN DESSOUS.. et là on pourra parlervraiment d’ un espace subquantique avec ses lois spécifiques INTERNES ……Ou bien encore il existeraitaussi des phénomènes qui ne relèvent pas que d’une seule échelle quantique et qui se mélangeraient INTIMEMENT avec d’autres qui dépendent d’ un mélangede lois Subquantiqueset quantiques ……
-Ohlala ! Quel méli-mélo tu me présentes là encore ?!
-Mais pas du tout Pierre et je te repasse ces deux photos pour te montrer qu’un phénomène peut être décrit dans les deux espace conjoints .Regarde les bien ! C e qui dépend d un phénomène décrit a l’aide de la constante dePLANCKhc’estUNIQUEMENT la courbe en hélice en gros traits noirs d une onde électromagnétiquese déplaçant dans un espace 3 D , car sa fréquence √ découle directement de la formule ΔW= h√ ( la fréquence √ est le nombre de périodes par unité de temps ) ….. EN REVANCHEtout ce qui peut se passer à taille en dessous dela longueur d’ondecela ressort de l’espace subquantique ET DE SES LOIS ….En étant rigoureux avec l’interprétation des expériences on ne peut que se borner à dire : voilà une transition énergétique qui se déroule quelque part ( sur un atome)et qui libère un photon de fréquence √dont je mesure la valeur √ ….ET JE N’EN SAIS PAS PLUS, malgré la théorie de propagation des champs E ,H (ou B) des équations deMAXWELL , du vecteur de POYNTING π et de la théorie QED de l’électrodynamique quantique !!!
-Mais il n’existe pas que des ondes électromagnétiques ( donc quantiques ) , les physiciens parlent aussi d’interactions faibles et fortes …Dépendent elles aussi de la valeur de h et sont-elles donc ondulatoires et quantiques ELLES AUSSI ??
- L’interaction forte décrit un phénomène vibratoire dénommé « gluon » ( et il y en athéoriquement une infinité ,tous décrits parune théorie au formalisme » coriace » appelée « électrodynamique quantique QCD) ; quant à l’interaction faible est elle aussi également expliquée par une autre théorie tout aussi mathématique , la théorie QFD (quantum flavordynamics ).Mais tout ce qu’ elles nous disent surtout , c’est la gamme des forces etdes portées de ces interactions ;elles ne descendent pas malheureusement à la description de leurs ondes , de leur longueur d’ondede leur fréquence etc.S‘agissant de leur dépendancevis-à-vis de la valeur de la constante dePLANCK elle existe mais sous une forme très indirecte car ces interactions sont le fruit d’outils mathématiques complexes les « LAGRANGIENS » et pour te faire souffrir un peuPIERRE, toi qui ne fait que des mathématiques de terminale ,je te colle la photo de ces outils à regarder et tu y verras bien cachée la constante de Planck réduiteh bar !
A suivre