De Brassens…

Publié le 15 janvier 2013 par Lawrence Desrosiers

— J’aime la pensée solitaire, je déteste les moutons.
— Les malheureux, les indigents, les assistés, on les appelle des « défavorisés ». Aujourd’hui, le père Hugo intitulerait son poème non plus Les Pauvres Gens, mais Les Économiquement Faibles.
— Les nouilles ne nourrissent pas aussi bien qu’on le prétend chez les mangeurs de canard farci.
— Je suis un vieux chat solitaire.
— Quand j’aime, c’est une fois pour toutes.
— J’ai en moi une cellule photoélectrique – encore un mot anti-poétique! – une espèce de diaphragme qui s’ouvre ou qui se ferme selon les gens à qui j’ai affaire.
Georges Brassens, Les chemins qui ne mènent pas à Rome
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