J’avais des idées, un regain de cynisme et d’autodestruction créatif, de quoi déblatérer un phrasé uniforme et informelle ! Je me sufi d’un simple post sans emphase, une forme de crie douloureux qui se morfond dans l’ambigüité d’un moment que l’ont appel présent ! J’ai vidé mon sac à la hâte, confié mes tard et mes maux, assez pour évacuer et n’avoir rien à me reprocher, mais en vain… j’ai tiré des traits, tourner des pages, commencer à en écrire de nouvelles… j’ai laissé derrière moi les choses, étalé comme un tapis de laine que j’avais moi-même tricoté… piétiner à la hâte… dans cette histoire j’aurai appris que personne ne peut changer, reclus dans cette univers qui n’est pas le mien, je ne fais que m’accrocher de plus belle à ses petits défauts qui nous font, pour ne pas perdre de vue qui je suis ou qui je crois être ! Perdu entre le délire de la solitude, lorsque seule entre tous ses murs, je suffoque d’oppression alors que le peu de gens rencontrer ne me permette pas de respirer d’avantage ! Je m’enlise dans cette espace ou devrais-je dire dans se manque d’espace ! Je suis profondèment blessé, ou infiniment déçue, rien ni personne ne parait me préserver et me porter vers le haut ! Je n’ai envie de parler à personne, juste l’errance semble devenue ma ligne de conduite, je n’ai même plus envie de me battre, rien ne semble valoir de frénésie à mes yeux, tout est morose, sombre, le havre de paix espérer et devenue mon purgatoire... une fois que j’aurai touché le fond, je finirai bien par remonter !
J’avais des idées, un regain de cynisme et d’autodestruction créatif, de quoi déblatérer un phrasé uniforme et informelle ! Je me sufi d’un simple post sans emphase, une forme de crie douloureux qui se morfond dans l’ambigüité d’un moment que l’ont appel présent ! J’ai vidé mon sac à la hâte, confié mes tard et mes maux, assez pour évacuer et n’avoir rien à me reprocher, mais en vain… j’ai tiré des traits, tourner des pages, commencer à en écrire de nouvelles… j’ai laissé derrière moi les choses, étalé comme un tapis de laine que j’avais moi-même tricoté… piétiner à la hâte… dans cette histoire j’aurai appris que personne ne peut changer, reclus dans cette univers qui n’est pas le mien, je ne fais que m’accrocher de plus belle à ses petits défauts qui nous font, pour ne pas perdre de vue qui je suis ou qui je crois être ! Perdu entre le délire de la solitude, lorsque seule entre tous ses murs, je suffoque d’oppression alors que le peu de gens rencontrer ne me permette pas de respirer d’avantage ! Je m’enlise dans cette espace ou devrais-je dire dans se manque d’espace ! Je suis profondèment blessé, ou infiniment déçue, rien ni personne ne parait me préserver et me porter vers le haut ! Je n’ai envie de parler à personne, juste l’errance semble devenue ma ligne de conduite, je n’ai même plus envie de me battre, rien ne semble valoir de frénésie à mes yeux, tout est morose, sombre, le havre de paix espérer et devenue mon purgatoire... une fois que j’aurai touché le fond, je finirai bien par remonter !