A tenter le Diable à tous bout de champ, il n'est pas certain qu'il résiste bien longtemps.
A tous ces politiques auto-satisfaits, qui osera demander quel bruit fait une main qui applaudit ?
Moi : Suis-je bon ?
Dieu : C'est une mauvaise question.
Moi : Pardon. Pourquoi ?
Dieu : Je suis infiniment bon.
Moi : Et moi ?
Dieu : Je suis infiniment patient.
Un juste retour des choses, sinon une juste cause : un analphabète au Ministère de la Culture.
Je tuerai pour un bon mot. Le problème serait donc qu'il existe une infinité de mots.
Pour sanctifier la spéculation, cotez le Bonheur en bourse.
Le malheur du plus grand nombre pour le bonheur de quelques-uns. Comme quoi, deux mots intervertis pourraient changer la face du monde.
Il en est des briquets comme des stars, plus leur flamme est soudainement intense plus leur durée est problématique.
Pour un test du crayon réussi, l'objet doit être chaud et tactile.