Je vous le dis, vous le répète, j’aime les romans policiers, j’affectionne les polars scandinaves.
Arnaldur INDRIDASON, je le lis depuis ses débuts, certes prometteurs mais pas vraiment convaincants. Lui manquait un je ne sais quoi qui a vu le jour dès le deuxième pour me le rendre addictif.
Ici, une fois n’est pas coutume, il n’est pas question du commissaire Erlendur, héros récurent sombre et torturé par son passé des polars d’INDRIDASON, ni de froid et de glace. Ici, il est question de perversion, de manipulation, d’amours torrides à la vie à la mort. Mais n’attendez pas de moi que je vous en dise plus, la quatrième de couverture me semble déjà bien trop bavarde, je vous conseillerais même de l’ignorer. Non, mais croyez moi, si vous aimez les films noirs des années 50, les femmes fatales, les tragédies à rebondissements, ce petit livre d’à peine 230 pages vous fera passer une excellente soirée.
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